1. La vraie première fois


    Datte: 13/10/2018, Catégories: f, fh, hplusag, hagé, voisins, complexe, revede, Masturbation préservati, pénétratio, init, Auteur: Maelys, Source: Revebebe

    ... ma brosse… J’imagine un bel étalon me prenant langoureusement par derrière. Le plaisir monte peu à peu. Après une dizaine de minutes, j’atteins l’orgasme. Mes contractions enserrent la brosse. Je m’affale au sol, anéantie. Il me faut bien cinq minutes pour émerger. Je n’ai plus faim. Je me délasse sous une douche bien chaude et vais me coucher. Mon corps est enfin satisfait. Je me sens plus que jamais prête à vraiment faire l’amour pour la première fois.
    
    —ooOoo—
    
    Les cours du lendemain passent vite. J’attends avec impatience que le moment tant attendu arrive. Je suis parfois distraite par Antoine, un garçon de ma promo, un peu barbu, habillé décontracté, que je devine assez baraqué. Je le surprends à me regarder de manière détournée. Je lui rends ses regards. Pourtant, rien n’a changé ; mais peut-être que tout a changé chez moi ? Je dois sembler plus détendue et plus réceptive à l’attention des hommes. Un signe tangible de ma transformation progressive, sans doute.
    
    En fin d’après-midi, je rentre chez moi. Je suis de plus en plus excitée. Mon cœur bat la chamade comme si j’allais faire l’amour pour la première fois. J’ai acheté des dessous simples, mais plus sexy que mes culottes en coton et que mes soutien-gorge avec des bonnets confortables, mais sans transparence. Il s’agit d’une parure soutien-gorge / culotte blanche et bleue d’une marque célèbre. Je me trouve très désirable en la passant. Je passe un petit pull blanc et une petite jupe mauve qui m’arrive au-dessus ...
    ... du genou.
    
    À l’heure dite, je frappe chez mon propriétaire. Aussitôt, il m’ouvre son appartement. Après deux bises paternelles, il me prend par la main et nous nous rendons dans la chambre…
    
    — Tu es prête, Marie ?
    — Oui, cela fait une semaine que je désire que vous me fassiez femme.
    
    Sa langue force mes lèvres, la mienne se laisse caresser ; elle s’anime même à ce contact chaud. Sa main droite me caresse un sein. Je le laisse me pétrir la poitrine par-dessus mes vêtements. Son baiser endiablé se poursuit ; nos langues s’entremêlent, se cherchent.
    
    Sa main ne reste pas inactive. Elle se retrouve sous mon pull.
    
    — Tes seins sont de vrais appels à l’amour. Tu as une magnifique poitrine.
    
    Il retire mon pull.
    
    — Très joli soutien-gorge. Merci pour cette attention. Il met bien en valeur tes arguments.
    
    Il dégrafe mon soutien-gorge et le retire. Je frissonne, seins nus, devant lui.
    
    Il approche ses lèvres, me mordille, me lèche tandis que sa main caresse, soupèse, malaxe mes seins dont les bouts ne tardent pas à s’ériger. Ma culotte commence à s’humidifier. Je sens à ce moment une douce chaleur envahir mon bas-ventre ; mon sexe perle… Sa seconde passe sous ma jupe, caresse mon entrejambe. J’écarte un peu les jambes afin qu’il caresse ma vulve sur toute sa longueur par-dessus le tissu.
    
    — Je sens que tu es très réceptive, Marie… Tu as trouvé la position dans laquelle tu souhaites que je te prenne ? Indique-la-moi et nous allons la copier.
    — Voilà : il s’agit de ...
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