L'Africain (2) - Histoires de Sexe

L'Africain (2)

... dans cette position jusqu’à mon retour le cul bien relevé.

Je n’ai pas eu le temps de répondre, car mon souffle fut coupé par les va-et-vient du gode ceinture. Sophie prend plaisir à me posséder sur toute la longueur du sex-toy. Je peux sentir tantôt le gland à l’entrée de mon anus tantôt les couilles en plastique venir buter sur mes bourses. Je n’en pouvais plus et me mis à jouir d’une force assez intense.

— Tu jouis du cul comme une salope, me susurre Sophie.

— J’adore sentir une bite m’enculer sur toute sa longueur.

Ma salope de demi-sœur continua encore quelques instants à m’enculer. Je suis totalement soumis à ses coups de reins, l’anus en feu. Elle sortit de moi brutalement après m’avoir donné un dernier coup bien profond qui m’arracha un cri mélangé de surprise, douleur et plaisir étouffé par l’oreiller.

— Magnifique ton petit trou tout épilé. On dirait le cul de jeune fille.

— Tu m’as fait mal et j’en avais assez après que j’ai éjaculé.

— C’est pour t’apprendre la dure réalité. Quand tu te fais prendre, c’est pas toujours toi qui décides quand ça s’arrête. Maintenant, écarte tes fesses.

Avec mes deux mains, j’écarte mes deux lobes, laissant la vue de mon anus à Sophie. Un liquide froid est visqueux vint couler sur mon ...

... anus. Cela me fit du bien. Mais très vite, ce moment de calme est interrompu par l’intromission du plug.

— Pousse un peu pour le faire entrer, dit Sophie.

Je sens peu à peu mon petit trou s’ouvrir face au plug qui force l’entrée. Quand tout d’un coup, il entre écartant mes chairs qui se referment au niveau de la base. La sensation est agréable, je sens mon anus légèrement écartelé par la base du plug et en même temps rempli.

— Tu vas le garder jusqu’à 16h. Ça va bien de préparer l’anus pour ton coup de bite du soir.

Je m’affale sur le lit, je n’en pouvais plus. Mais jambes ne me tenaient plus. Je remarque que la porte de la chambre est entrouverte et aperçoit quelqu’un qui nous observe. Merde, c’est le beau-père. Qu’est-ce qu’il a bien pu voir ? En tout cas suffisamment pour qu’il ait la gaule. Nos regards se croisent et il disparaît.

— Sophie, ton père nous a vus.

— Comment répondit-elle surprise.

— Je l’ai vu nous regarder par la porte et nos regards se sont croisés.

Ma sœur s’allonge à mes côtés.

— Ne t’inquiète pas, il m’a déjà surprise en train de me masturber. On dort maintenant, je suis crevée.

— Si tu le dis.

Sophie s’endort rapidement. Je sens bien le plug entre mes fesses, mais le sommeil fini par m’emporter.