Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (39) : notre cadeau de mariage.
Datte: 12/10/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... c’est bon, mon Dieu
• Merci chérie, c’est un magnifique cadeau.
• C’est mieux qu’il y a dix ans, mon Philippe. A l’époque, je t’avais puni, tu te souviens, tu avais pu écouter et pas mater.
• Je préfère cette fois. Pas seulement parce que je mate. Il y a dix ans, Pierre t’avait fait l’amour, ceux-là te niquent comme une chienne.
Ça m’excitait à fond. Oui, j’étais une vraie chienne en chaleur, criant de plus belle à chaque pénétration, plus puissante les unes que les autres. Le lit grinçait, mes seins ballottaient dans tous les sens. Je pensais que le lit allait craquer au vu des secousses générées par les coups de hanche puissants qu'il me donnait. La folie ! Je criais de plus en plus fort, comme une furie.
Au bout de vingt minutes, j’explosais ! Un cri énorme, qui aurait pu ameuter tout le quartier. Il y a longtemps que je n’avais pas joui comme ça ! Et là, à son tour, Dany lâcha un râle puissant. Il se vidait complètement en moi le salaud. Il m’inonda d'une quantité impressionnante de sperme. Un vrai délire!
Quand il se retira de moi, j’avais un trou béant tant il avait dû dilater ma chatte et une grosse quantité de sperme qui commençait à en sortir, coulant sur mes fesses. Pour m'avoir bien baisée, il m’avait bien baisée le salaud !
Sur quoi, l'autre ne tarda pas à entrer en action. Il n'en pouvait plus le bougre. Il me mit en levrette, mit son gland à hauteur de l'anus et commença à tapoter son immense queue sur mes fesses pour comprendre la suite des ...
... événements. Il mit un peu de salive sur l'anus, un doigt pour préparer le terrain et il se prépare à me pénétrer. Lorsqu'il est entre, j’ai poussé un cri de douleur. Un tel engin ne rentre pas sans faire de dégât ! Mais il parvient à bien rentrer dedans jusqu'au bout et s'installe confortablement. Au fur à mesure qu'il s'installait, je poussais un râle qui en disait long sur l'intrusion.
Après quelques secondes de repos à l'intérieur, histoire de bien dilater mon petit trou, il commença à faire des va et vient bien puissants et bien profonds, écrasant ses couilles sur mes fesses. À chaque pénétration, je poussais un cri aigu, mêlant douleur, excitation et plaisir. Un must absolu. Il continuait à me pilonner tout en me maintenant par les fesses, qu'il fessait d'ailleurs joyeusement de temps à autre.
Je recommençais à crier comme une folle.
• Oh oui, j’aime ça ! Vas-y, salaud, casse-moi le cul !
J’étais en levrette, ce gros calibre me pilonnait, mes seins en train de ballotter comme des fous. Je criais, hurlais, mordillais les draps de lit. Philippe ne perdait pas une miette du spectacle !
Pendant ce temps, Dany était étendu à côté, en se caressant le membre et en admirant le spectacle. Le spectacle était tellement bandant que mon premier baiseur avait déjà repris de la vigueur. Quelle santé !
Soudain, après une quinzaine de minute, Eric lâcha un râle puissant, se déversant complètement en moi, sur quoi je poussais un hurlement aussi.
Dany, qui se branlait ...