Une Jeunesse Bourgeoise
Datte: 12/10/2018,
Catégories:
Épouses affectueuses,
Auteur: byJipai, Source: Literotica
... ne la touchait que très peu, aussi une fois l'exercice terminé, elle se tournait dans le lit et quand son mari ronflait près d'elle, elle glissait ses doigts entre ses cuisses et les yeux clos, elle se masturbait langoureusement.
C'est à cette époque qu'elle prit cette habitude de se caresser tous les soirs, n'espérant rien de l'homme assoupit à ses cotés, ses doigts faisaient merveille et elle devait se mordre les lèvres parfois pour ne laisser échapper un soupir ou même une plainte qui l'aurait trahie. Florence rêvait, sa libido attisée par une grossesse sans histoire, elle était sensible de toutes ses parties sexuelles : ses seins la démangeaient du matin au soir et cela se répercutait sur son sexe constamment humide au point qu'elle devait se changer plusieurs fois par jour. La masturbation était son échappatoire, elle se retirait dans sa chambre, s'allongeait sur le lit et passait des heures en caresses jusqu'à se procurer des orgasmes qu'elle n'avait jamais connu par ailleurs. Ses doigts frottaient et frottaient encore sa vulve si sensible et si humide. Cela exaspérait ses seins enflés qui durcissaient encore et décuplaient en sensibilité et ainsi tout son corps devenait une boule de frénésie qu'elle apaisait de son mieux.
Sa mère et sa belle mère disaient que Florence avait besoin de repos et la laissaient en paix des journées entières que la jeune femme passait en masturbation du matin au soir, ne s'arrêtant qu'en entendant la voiture de son mari s'immobiliser ...
... dans la cour. Elle descendait alors pour l'accueillir avec ces cernes sous les yeux de celle qui passa sa journée à se donner du plaisir.
Florence était inquiète quand même, se demandant si cette frénésie était seulement due à son état ou si, soudain, sa libido c'était éveillé. Bien sur elle ne put s'en ouvrir à personne, elle n'osa pas le demander à son mari, craignant les ricanements et les sarcasmes qu'elle l'avait entendu parfois proférer devant les cas embarrassant pour ses patientes et qu'il avait eu à traiter. Certes le médecin restait discret dans l'ensemble mais il lui arrivait de narrer des anecdotes amusantes (pour lui) et Florence n'était pas certaine qu'ils ne s'échangent entre collègues ce genre de confession.
Elle prit son courage à deux mains et elle prit rendez vous avec un médecin éloigné de la ville, le docteur Reignaux dont elle était sure qu'il n'avait pas de relations professionnelles avec son mari. Elle voulait en avoir le cœur net, prendre l'avis de quelqu'un dont la neutralité la rassurerait.
Elle monta dans sa voiture pour faire les cinquante kilomètres qui la séparait du docteur Reignaux et attendit son tour dans le cabinet tendu de cretonne du médecin de campagne. Quand il ouvrait la porte du cabinet, Florence vit un homme qui approchait la cinquantaine, brun avec de fortes moustaches fort bien soignées, souriant et qui s'effaça pour lui livrer le passage.
Florence se racla la gorge avant de parler, les mots venaient mal et elle sentait ...