Une Jeunesse Bourgeoise
Datte: 12/10/2018,
Catégories:
Épouses affectueuses,
Auteur: byJipai, Source: Literotica
... d'examen et formait une flaque sous les fesses de Florence. Le médecin sourit et essuya le trop plein des sécrétions féminines. Il demanda à Florence comment elle se sentait. Elle lui dit être épuisée par tant de jouissance. " Je savais que vous seriez fatiguée, lui dit il, je vous propose de faire la sieste dans une chambre que j'ai la derrière avant de reprendre la route ".
Florence pensa que décidemment, il avait tout manigancé, tant de prévoyances étaient suspectes. Il sentit le trouble de la jeune femme et tout en lui souriant il lui expliqua qu'elle n'était pas un cas unique, il avait dans sa clientèle des femmes dont le seul désir était de jouir, aussi il c'était équipé de ce matériel sophistiqué pour les satisfaire. Des veuves venaient chez lui régulièrement pour bénéficier des bienfaits de sa machine à jouir, des femmes délaissées aussi faisaient partie de sa clientèle. Il lui dit aussi avoir des cas semblables au sien, des femmes enceintes dont la libido était complètement déréglée et qui frisaient parfois l'hystérie. Sa thérapie les calmait et elles s'en revenaient apaisées auprès d'un mari ou d'un amant.
Florence a resta bouche bée devant un tel déploiement de sensualité, le médecin lui expliqua qu'il était là pour apaiser et que cela faisait partie des soins. Il lui demanda de la discrétion, en l'assurant à son tour de sa disponibilité.
Florence se rhabilla, elle chercha sa culotte, ne la trouva pas. Le docteur qui était assis à son bureau la vit faire ...
... : " Ne la cherchez pas, je la garde en paiement de mon travail. " Florence en fut interloquée mais ne protesta pas. " Que voulez vous, continua t il, il faut bien que je conserve un souvenir de mes patientes. " Florence rougit et se résigna à rentrer sans culotte. Ensuite, le médecin la mena dans la chambre en question. Elle s'aperçut rapidement que le lieu devait servir aussi à autre chose, il y avait aux murs des estampes fines à caractère érotique et même pornographique. Elle s'attarda un instant dans la contemplation des dessins dont certains lui apprirent des choses sur la libido des hommes et des femmes. Le lit était confortable, elle s'y allongea et puis elle s'assoupit dans le grand lit moelleux de ce docteur si particulier.
Quand il la réveilla, il était déjà seize heures, Florence sembla affolée et voulu partir aussitôt mais le docteur l'apaisa, il lui offrit une tasse de thé un biscuit et elle reprit le chemin de la ville avec le sentiment trouble de la femme adultère mais elle ne se sentit pas coupable outre mesure. Florence souriait derrière son volant, elle était suffisamment cynique pour s'accommoder de ce petit délit qui pour elle n'en était pas un.
Cette séance l'avait réellement apaisée et le soir malgré sa fatigue, elle fut l'épouse attentionnée que son mari pouvait espérer. Elle le fut d'autant plus qu'avec un rien de perversité elle se remémorait chaque instant de sa journée et qu'un sourire permanent enluminait son visage et par ricochet, rendait ...