Un village tranquille
Datte: 12/10/2018,
Catégories:
Lesbienne
Partouze / Groupe
Humour
Auteur: marika842010, Source: xHamster
... rangée, un feu d’artifice, elle lui avait avoué ce qui la taraudait…
Elle était tombée sur l’amant parfait pour éteindre ce volcan ravageur…
Était-ce une maladie ? Ce besoin physique l’envahissait depuis le départ de son mari…
Elle devait le satisfaire à n’importe quel prix pour ne pas tomber dans des travers bien pires, et la dépravation…
La chance aida Chloé, car Pierre était boulanger à 3 km de chez elle, dans le Sud et il savait à quelle heure du jour, elle pouvait venir se soigner, en évitant sa femme…
Du mardi au vendredi, entre 07h00 et 08h00…
C’est tôt, certes, mais quelle sécurité par rapport à ce qu’elle avait trouvé à Paris en trois jours…
Expédients de rencontres, douteux et peu actifs, un voisin de chambre glauque et sans passion, et le dernier, le gardien de nuit, lamentable amant, qu’elle n’avait même pas senti…
Alors elle avait tenté le métro, son charme, ce défi, cette sensation de danger, un coït rapide, un échange éclair, un doigt insidieux, mais libérateur… Elle s’enfuyait dès l’ouverture des portes, sans demander son reste…
Cela l’apaisait pour quelques heures, et quand ses tourments revenaient, elle ressortait… Pierre fut le 4ème, le 3ème jour…
Les kilomètres parcourus avant (3 km en courant) de rejoindre Pierre, attisaient son esprit, ouvraient son appétit et même son corps qui se préparait à recevoir ce cadeau du ciel, un peu comme une hostie purificatrice….
Elle se donnait corps et âme, ressentant toujours la même ...
... envie, puis la satisfaction suprême, et l’extase finale qui la libérait pour un temps…
Un coup devant, un coup derrière, mais quels coups !... On était loin du métro…
Ce que Chloé ne savait pas, c’est que ce qu’elle combattait, ce désir sexuel au bout de quelques semaines, ce désir impossible à satisfaire seule, car elle avait tout essayé, était un virus, un simple et petit virus…
Pierre fit la relation entre ses rendez-vous avec Chloé, et les besoins grandissants de son épouse Linda…
A tel point qu’il dû composer avec Linda la même partition qu’avec Chloé, à quelques variantes près, histoire de la distinguer…
Au lieu du fenil, c’était dans la cave que se déroulait le concert…
Toute la soirée, et une partie de la nuit, ils s’enfermaient dans ce lieu de repos où trônait un ancien sofa, leur rappelant leurs premières années et les premières séances, en cachette de ses parents…
Linda lui avoua qu’elle ressentait un besoin physiologique, irrésistible, une envie dantesque de faire l’amour avec un homme, qui la prenne, qui la déchire, qui la baise et la sodomise, qui lui détaille le kamasoutra, sans rien omettre, et cela tous les mois environ…
Il était aux premières loges et il avait constaté ce pic de libido…
Mais il prenait cela comme un compliment, un regain d’amour de son épouse…
Comme Chloé, elle devenait nymphomane et aurait sauté sur le premier mâle pour se satisfaire…
Elle aussi avait testé toutes les solutions, et même brisé un godemiché ...