1. Mûres56 jouir par la bouche 3, Odette


    Datte: 11/10/2018, Catégories: Mature, Auteur: langauchat, Source: xHamster

    ... coucheriez sur la table, je relèverais votre robe, et je vous dégusterais jusqu'à ce que vos jambes se mettent à trembler, et que vous vous mettiez à crier.
    
    -Ce serait du propre! On nous enfermerait tout de suite!
    
    -Je suis sûr qu'il bande déjà en vous disant cela, souffla la maîtresse à Odette, qui rougissait. Vous n'imaginez pas ce qu'il en a piné, des grand-mères! Sa queue pourrait gicler pour vos soeurs aînés, si vous en aviez!
    
    Odette avait avancé courageusement la main sous la nappe, et me palpait l'entre-jambe.
    
    -C'est vrai qu'il bande, murmura-t-elle.
    
    -Sortez-la lui, et branlez le.
    
    tout en jetant des regards furtifs et amusés dans le salon de thé, Odette me sortit la queue, et commença un doux va-et-vient.
    
    A quelques mètres, un monsieur était plongé dans un journal. Plus loin, deux dames étaient absorbées dans une conversation animée.
    
    La main de la vieille dame était douce. Je sentais une jouissance tenace qui me chatouillait jusqu'au fond des couilles.
    
    -ça suffit, dit la maîtresse satisfaite, dont les yeux brillaient d'une lueur perverse. ne le faites pas découiller maintenant. J'aimerais qu'il le fasse tout à l'heure, dans la chambre et sur vos seins, pas dans une serviette sous la table!
    
    -C'est bon? me dit Odette en souriant.
    
    -Oh oui, j'aime votre main. Je n'ose imaginer comme j'aimerai votre ...
    ... bouche.
    
    -Laissez-le vous toucher, maintenant, ordonna la maîtresse. Je veux qu'il vous doigte. Regardez devant vous, parlons toutes les deux, sinon nous allons nous faire chasser de ce vénérable établissement.
    
    Je contemplais le profil d'Odette. j'avais envie de lui coller des baisers dans le cou, tandis que ma main rampait sous sa robe, et que mes doigts s'enfilaient latéralement dans sa culotte, cherchant la fente parmi les poils doux.
    
    A ma grande surprise, la fente de la vieille dame était déjà légèrement humide. Elle n'était pas complètement ouverte, mais très accessible. Je pinçai très délicatement son clitoris, et plongeai lentement deux phalanges dans son vagin.
    
    Odette soupira.
    
    Les yeux de la maîtresse flamboyaient.
    
    J'adorais le contact poisseux du vagin de cette dame que je ne connaissais pas il y a un quart d'heure.
    
    -Sors ta main. Goûte-là, ordonna encore la maîtresse.
    
    Je portai mes doigts discrètement à ma bouche. L'odeur n'avait rien de particulier, mais l'idée de goûter aux sécrétions vaginales de la dame m'excitait au plus au point.
    
    -Je vais aimer vous lécher, dis-je simplement à Odette.
    
    -Garçon, s'il vous plaît, lança la maîtresse.
    
    -Tu bandes encore? me demanda Odette. Tu sais que j'ai envie de faire ma cochonne, de te la sucer comme une glace?
    
    -Allons-y, dit la maîtresse en se levant. L'hôtel n'est pas loin. 
«12»