Homejacking
Datte: 11/10/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byqsrof, Source: Literotica
En cette mi-juillet, la chaleur intense de la journée faisait place à une moiteur insupportable la nuit venue.
Dans le pavillon de banlieue des Mercier, la température dépasse allégrement les 30 degrés en cette soirée. Dans l'espoir de faire un peu d'air, les propriétaires, Jean Pierre et Stéphanie, 40 ans tous les deux, ont ouvert grand les fenêtres et les baies vitrées.
Lorsqu'ils partent se coucher, Stéphanie demande:
- "On ne ferme pas les fenêtres?"
- "J'ai fermé la baie vitrée, mais je laisse les fenêtres ouvertes coté jardin, personne ne peut le voir depuis la rue"
Rassurée, Stéphanie part vers sa chambre. La canicule avait rendu la chambre conjugale insupportable et elle avait décidé de dormir dans la chambre d'amis, bien plus fraîche. Jean Pierre, moins sensible à la chaleur, restait dans la chambre du couple. Il regarda son épouse passer dans le couloir: aprés 15 ans de mariage, à 40 ans, elle était dans la plénitude de sa féminité, cette brune au beau visage aux cheveux tombant sur les épaules, des seins lourds mais qui ne tombaient pas, un fessier appétissant qui n'avait pas été trop abimé par ses deux grossesses.
Ce soir, elle avait passé une nuisette noire trés légére, aux fines bretelles, quasi transparente au niveau de la poitrine et s'arrétant au ras des fesses.
Jean Pierre lui lanca:
- "Tu es belle à damner un saint, ma chérie. Je te ferai bien des miséres!"
- "Merci mon coeur, mais pas ce soir si ça ne te dérange pas. J'ai eu une ...
... journée épuisante et je tombe de sommeil! Demain soir si tu veux, je ne travaillerai pas le lendemain."
Un peu décu, Jean Pierre fit bonne figure. Il embrassa Stéphanie, lui souhaita bonne nuit et rentra dans sa chambre. Tous deux s'endormirent rapidement.
Trois heures plus tard....
Dans la nuit silencieuse du lotissement de la maison des Mercier, une fourgonnette glissait silencieusement dans les rues désertes. A l'intérieur, quatre maghrébins, Mehdi, Ahmed, Malik et Osmane, la vingtaine, détaillaient les maisons devant lesquelles ils passaient. Arrivés dans la rue des Mercier, ils s'arrétérent au niveau de leur maison.
- "C'est la baraque qu'on a repéré, on y va les mecs" dit Ahmed, le conducteur et meneur de la bande.
Les quatre malfrats sortirent du fourgon en silence, escaladérent le mur et firent le tour de la maison. Ils ne tardérent pas à repérer les fenêtres laissées ouvertes.
Bingo!
Agiles comme des chats, ils entrèrent dans la maison par la cuisine. Une fois à l'intérieur, ils visitérent la maison pour faire le tour de ce qui était "volable": un écran plat, deux smartphones, une tablette, un ordi portable... La pleine lune aidait leur recherche, et ils communiquaient par gestes ou chuchotements.
Jean Pierre avait toujours eu le sommeil léger. Un rien le réveillait. Il fut naturellement mis en éveil par les petits bruissements et les chuchotis des cambrioleurs. Il se leva et se mit à chercher l'origine des bruits.
Arrivé dans le salon il ...