1. La plage en juin


    Datte: 10/10/2018, Catégories: hh, inconnu, grossexe, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, préservati, hsodo, occasion, Gay Auteur: Bruno2, Source: Revebebe

    ... bruit de la mer, du vent, les cris d’une mouette.
    
    J’étais bien.
    
    J’étais tellement bien que je sentis ma queue s’enfler à nouveau. Je savais que dans ce cas-là, il n’y avait qu’une solution, c’était de me vider les couilles. Une bonne branle et elle me laisserait tranquille pour un bon moment.
    
    J’aime bien ma queue. Oui, j’ose le dire, je l’aime bien. Je la trouve belle. Plutôt longue, dans les dix-huit centimètres, assez grosse, bien droite avec pour la terminer un beau gland. Les gars qui l’ont eue en bouche ou entre leurs fesses m’ont souvent fait des compliments. « T’as une belle queue ». Ça fait toujours plaisir.
    
    Je savais que je n’aurais pas à l’astiquer bien longtemps avant de m’asperger de sperme. Mais soudain, j’eus l’impression d’une présence. Je me soulevai sur un coude, mais ne vis rien. Personne. Par contre la planche à voile du jeune était toujours sur la plage, mais pas de trace de son propriétaire. L’autre était déjà loin au large.
    
    Où était-il donc passé ? Soudain je me retournai et le vis derrière moi, à deux mètres à peine.
    
    Il devait avoir dix-huit ans à tout casser, le corps mince mais déjà un peu musclé. Il avait des yeux bruns aux longs cils qui lui donnaient un regard presque féminin dans un beau visage d’adolescent entouré de cheveux foncés qui lui arrivaient presque sur les épaules. Je vis tout cela en un dixième de seconde, mais ce qui attira surtout mon regard n’avait rien d’adolescent et encore moins de féminin. Il tenait à la main ...
    ... un sexe énorme. En tout cas qui me paraissait énorme, ainsi dressé dans un corps aussi jeune.
    
    Il vit mon trouble et sourit. Il s’approcha, s’accroupit à côté de moi. J’étais tétanisé, ne sachant que faire. Le garçon était bien moins gêné que moi. Sans un mot, il prit mon sexe en main et commença à le lécher comme un chocolat glacé.
    
    Glacé, il ne l’était pas, je le sentais devenir brûlant, prêt à exploser. Bon Dieu, qu’est-ce qui m’arrivait ? Est-ce que tout cela était réel ? Est-ce que je rêvais ? Je tendis la main pour saisir sa queue. Je ne m’étais pas trompé, c’était un des instruments les plus gros et les plus longs que je n’ai eu ainsi en main depuis dix ans que je collectionnais les mecs. Je le branlai doucement tandis qu’il me pompait la verge, l’enfonçant au plus profond de sa gorge, quand il arrêta ma main. Il me regarda dans les yeux en souriant et dit :
    
    — Arrête, je vais jouir !
    — Je n’étais pas loin non plus, lui répliquai-je
    — Tu as des préservatifs ? me demanda-t-il.
    
    J’étais abasourdi ! Le plus beau des éphèbes me tombait du ciel, me faisait une pipe d’enfer et, en plus, il voulait se faire baiser. Un instant je me demandai si je n’avais pas fait une crise cardiaque et qu’en réalité j’étais déjà au paradis. Mais si c’est ça le paradis, je signe de suite.
    
    Non pas qu’il était mon type de mec. J’étais plutôt branché macho. Tous les amis que j’avais eus jusqu’à présent étaient tous assez baraqués. C’était cela qui me faisait flipper : baiser un mec, ...