"Il venait d'avoir Dix-huit ans..." (6)
Datte: 10/10/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
Fabrice avait déjà vu sa prof nue lors de cette fameuse soirée...mais d’abord il y avait une certaine distance, entre d’autres spectateurs et elle. Cette distance psychologique était obligée en quelque sorte, un peu comme dans une soirée de striptease en cabaret. Et puis il y avait comme une frénésie des sens. Fabrice avait bien senti que ce soir là, Anne s’était laissée aller à ses penchants exhibitionnistes.
Mais ici le contexte était différent. Anne semblait très épanouie et excitée de se montrer nue aux deux hommes. De plus, étant assis sur le canapé, et Anne se trouvant à portée de main, il avait le visage en plein devant son...sa… chatte ! Il n’avait pas osé sortir le mot. Et quelle belle chatte ! Fabrice ne pouvait en détourner les yeux. Il voyait les lèvres roses proéminentes toutes gonflées de désir. Surmontées par un pubis au triangle de poils blonds et très fins. La toison était assez bien fournie suivant les standards de l’époque...c’était beau, si tendre. Fabrice avait envie d’y fourrer ses doigts, de tester la femme; d’apprendre. Il avait là une occasion unique. Mais à ce moment-là, il se souvint qu’il n’était pas seul sur le canapé. Qu’allait dire le mari ? Éclater de rage ? Le foutre dehors par la peau du cul ? Passer un savon à sa femme pour son comportement outrancier ? La suite l’étonna beaucoup…
Maurice se leva calmement, lui aussi avait le regard rivé sur le sexe offert de sa femme. Une bosse délirante déformait son pantalon de costume en tweed ...
... gris. Il regarda sa femme et lui dit:
“ Je vais vous laisser, tu peux aller dans la chambre… fais ce qui doit être fait ! Jeune homme je vous laisse mon épouse , ayez des égards pour elle, elle le mérite !”
Fabrice n’en revenait pas, il avait l’impression de rêver. Son proviseur lui offrait sa femme sur un plateau, sans haine, sans remords, sans rancune !
“ Mais ...mais je...je ne comprends pas ? Dis Fabrice, le regard levé vers le visage de sa prof :
— Ne t’inquiète de rien et profite du moment, ce sera très agréable pour nous deux. Mon mari va revenir pour nous regarder, et nous prendre en photo. Mais il n’interviendra pas. Tu peux te laisser aller à tes pulsions, je te guiderai !”
Et Anne s’étant rapproché très près de lui, “ Don’t stand so close to me “, pensa-t il, en référence au dernier tube de “police”, elle lui prit la tête et enfouit son visage dans sa toison pubienne. Fabrice, aux anges, respira a pleines bouffées ces senteurs du paradis...paradis dont le gardien venait de lui remettre les clés !
Ensuite tout alla très vite. Il se mit à caresser ce corps offert et tant désiré. Ses doigts allaient et venaient sur le pubis de sa prof, entre ses cuisses, caressant le clitoris gonflé, s’introduisaient entre les lèvres pour envahir la fente dilatée d’envie. Anne se mit à gémir et respirer bruyamment. Pensant qu’il lui avait fait mal, Fabrice chercha son approbation en levant les yeux vers son visage:
“ Noooonnn… hummmm ! Tout ...toouuuut va biennn. ...