Le calvaire d'une jeune fille (2)
Datte: 10/10/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
... etc...
A l’aube de notre première année de relation et à l’approche de mes 19 ans, il m’emmena au restaurant, m’offrit une bague et des fleurs. C’était charmant de sa part.
Pendant notre dîner, il voulut fêter ça avec une bouteille de champagne et il commença à se servir.
Ne buvant pas d’alcool (et il le savait), je refusai sa proposition et il s’énerva :
— Allez, bois quoi ! Fais pas chier Kriss, c’est pour nos un an.
— Tu sais très bien que je ne bois pas d’alcool, pourquoi tu commandes ?
— M’emmerde pas !
Il prit ma coupe et la vida ainsi que la sienne. Il siffla facilement les trois-quarts de la bouteille ce soir-là.
Nous rentrâmes chez moi à pied. Fatiguée et repue de ce dîner, je décidai d’aller vite me coucher. Pendant mon brossage de dents, il se mit derrière moi et il commença à me toucher les fesses. Voyant où il voulait en venir, je le repoussai gentiment.
— Non, pas ce soir, je n’ai pas envie. Je suis fatiguée, demain pourquoi pas.
— Allez, stp quoi, je bande à mort, j’ai envie de te la mettre... dans le cul !
Jamais il n’avait essayé la sodomie et je ne voulais pas.
— C’est mort, mon coco. On en a déjà parlé de ça et c’est pas possible. Écoute, je suis fatiguée, laisse-moi tranquille maintenant !
— Ah non non ! J’ai payé une Blinde ce putain de resto. Maintenant c’est toi qui vas déguster.
— T’as encore trop bu, Axel. Fais pas le con, il y a ma mère dans le salon.
— On s’en fout de ta mère, elle va t’entendre ...
... couiner. Elle va vite comprendre que sa fille c’est une salope !
Là, c’était le mot de trop. Il est allé beaucoup trop loin dans ses propos. D’une nature calme, je lui dis que je ne voulais plus le voir et qu’il avait gâché notre soirée.
— Sors de ma chambre, j’ai plus envie de te voir. On se verra demain si l’humeur m’en dit !
— Allez pardonne moi, excuse-moi, je suis con.
— C’est trop tard, va-t’en dessoûler ailleurs !
Énervé et violent, il me mit une baffe et je tombai par terre. Il claqua la porte pour éviter que ma mère nous entende. A ce moment précis, je ne le reconnaissais plus. Ce n’était plus l’homme que j’aimais.
Il me releva en me tirant par les cheveux.
— Arrête Axel, ça fait mal !
— Je m’en bats les couilles, tu vas me vider les couilles sinon j’te frappe encore !
Il me balança la tête en arrière sur un meuble de la salle de bain et il commença à enlever son pantalon et son caleçon.
— Regarde comment ma bite est dure, tu peux pas me laisser dans cet état-là, maintenant ouvre en grand la bouche !
Ne répondant pas à sa demande, je voyais dans ses yeux de la haine, de la colère et la puissance du dominant.
Il me frappa dans le ventre pour me faire comprendre qui était le patron. Son coup de poing m’avait fait très mal, j’étais recroquevillée en position fœtale dans un coin de la salle de bain.
Je voulais fuir et crier mais j’avais trop peur qu’il continue à me faire du mal, mes jambes étaient prises de tremblements.
— Je t’ai à ...