1. "Et toi bébé, à quoi tu rêves?"- Le cul, moteur de l'hitoire


    Datte: 07/02/2018, Catégories: nonéro, délire, Humour revebebe, historiqu, Auteur: Brodsky, Source: Revebebe

    Salut les branleurs, et surtout merci à vous toutes, mes chères branleuses, qui m’avez envoyé ces dizaines de messages vraiment gentils suite à l’agression de ma nouvelle « Modern’ Art » par un nabot. Mais s’il vous plaît, mes zamours, ne vous mettez pas dans des états pareils. Même MOI, je peux écrire une merde quelquefois. Même MOI je peux mériter un 2, et n’importe qui (bon là, en l’occurrence ce serait plutôt n’importe quoi) a le droit de me dire franchement ce qu’il pense de ce que j’écris. C’est fait pour ça, les forums littéraires, non ?Les notes pourries sont aussi intéressantes que les autres, parce que normalement, elles sont accompagnées d’un commentaire qui explique le point-de-vue du critique. Là, le commentaire était tellement succinct que je me suis dit « Cool, Brodsky, tu as là affaire à un grand écrivain, la crème de la crème de la crème, qui t’invite à progresser dans le domaine de l’écriture en lisant une de ses œuvres immortelles. » Je suis donc allé voir ce qu’il écrivait… Et j’ai trouvé : RIEN.Donc, on résume, mes chéries : pas d’explications, pas de textes pour comparer… C’est donc quelqu’un qui n’a rien compris, ou qui me connaît personnellement et avec qui je me suis frité ailleurs… On ne va pas se mettre la rate au court-bouillon pour ça, hein ? Laissons-le s’exprimer, ça lui fait sûrement du bien, et moi, ça va m’amuser un peu… Allez, l’incident est clos.Ah, je sens le vibreur de mon téléphone à l’intérieur de ma poche de pantalon. Je vous ...
    ... demande quelques secondes…
    
    — Brodsky ! Tu as fini ton cirque ? On avait dit :« Pas de provocation ! »
    — Mais Lilas… enfin… je provoque pas, là… Je lance un appel au calme pour éviter que ce crétin ne se fasse arracher les yeux par mes fans.
    — C’est moi qui vais t’arracher les yeux si tu continues à te servir du micro pour régler tes comptes personnels.
    — Euh… je préfère quand tu m’arraches mes vêtements, mon petit cœur.
    — C’est ça, fais ton malin ; je te jure que tu vas prendre…
    — Non mais, tu vas voir… La suite de ma chronique est plus cool, promis…
    — Et cesse un peu de les appeler « mes chéries » ou « mes zamours » : c’est du racolage, et ça fait vulgaire…
    — Tu m’avais promis une totale liberté d’expression…
    — C’était avant que tu dises oui.
    — Lilas, écoute…
    — Espèce de vieux pervers, tu ne perds rien pour attendre, c’est moi qui te le dis…
    — Mais, mon cœur…
    
    Clic. Bip - bip - bip…
    
    Euh… Bon, on va reprendre notre chronique, mes za… les filles…
    
    Donc, aujourd’hui, je vous propose de faire un point rapide sur la manière dont le cul dirige depuis toujours l’Histoire de notre planète pas nette.
    
    Contrairement à Marx qui prétendait que tout découlait de l’économie et de la lutte des classes, je suis convaincu que c’est cet enfoiré de Freud qui avait raison (pour une fois) et que les grands événements de l’Histoire de l’humanité ont été dictés par notre libido. Pourquoi ? Parce queue…
    
    Premier exemple, pioché au hasard dans l’Antiquité : Antoine et ...
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