1. Mon masochisme (7)


    Datte: 10/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: EloiseF, Source: Xstory

    Les anneaux, je voulais des anneaux, des anneaux d’acier larges et épais, des anneaux lourds posés à mes seins et mon sexe, des anneaux de catin qui disent tout à leur vue, des anneaux d’esclave offerte, points d’ancrage pour des chaînes ou des poids. Se faire percer n’est pas rien, il faut le temps de la cicatrisation puis le temps d’élargir pour en arriver à ces anneaux-là que je voulais, larges, épais, lourds. Bien sûr, je ne les porterai pas toujours, juste pour lui dire que je suis sienne, qu’il joue de moi autant qu’il veut, que je suis sa putain, sa chienne. Lui ne les voulait pas forcément et ne les pensait ainsi. Pas aussi larges, pas aussi épais. Chaque anneau fait quatre centimètres de diamètre et cinq millimètres d’épaisseur. Ils sont en acier brillant, bien voyant. Un à chaque pointe de sein, trois à chaque grande lèvre. Un dernier, plus petit honore mon clitoris. Lorsque je les porte, ceux des tétons sont visibles même sous un chemisier.
    
    Quant à ceux de ma vulve, ils émettent un cliquetis sonore délicat.
    
    Pierre ne les voulait pas, c’était mon désir. Et Madame les trouve absolument magnifiques. Elle m’appelle « la délicieuse catin » maintenant et ces anneaux font briller dans ses yeux une luxure qui m’excite au plus haut point.
    
    Madame m’a fait faire des robes sur mesure. Enfin, robe...
    
    Pour l’une chaînette passait derrière mon cou d’où partait sur le devant deux pans de tissu, un voile noir presque transparent sur mes seins puis se croisait sur mon ...
    ... ventre pour rejoindre l’arrière au bas des reins, avec un petit anneau et une attache. Le tout tellement court que la naissance de mes fesses était visible. De toute façon, les deux pans ne se couvrant pas par-derrière, mon cul était parfaitement accessible. Madame aimait beaucoup, moi aussi. Une autre était composée d’un simple pan de tissu descendant jusqu’aux chevilles, large de 10 centimètres et tenant en haut par deux crochets attachés à mes anneaux de seins... rien derrière si ce n’est un lien entourant ma taille. Il y avait aussi une robe en résille très large, une autre en latex très moulant rouge vif, des talons aiguilles vertigineux. Et enfin des harnais de cuir sur-mesure qu’elle avait créés pour moi. Certains avec des godes pour me pénétrer, d’autres faits de chaînes et de cuir pour enserrer ma vulve.
    
    Un dernier, cruel, comportait des pointes tournées vers l’intérieur. Ainsi deux anneaux enserraient mes seins à la base, les faisant saillir, mais avec des pointes entrant dans ma chair. Puis partant de là, deux autres lanières passent sur mes aines, toujours garnies de pointes. Certes, pas assez pointues pour entrer dans la chair, mais se faisant terriblement sentir. Madame jouait à la poupée et j’adorais cela. J’aimais cette indécence totale, ces tenues de catin, de pute.
    
    Nous étions allées les chercher ensemble. Alors que j’essayais mes parures, Madame allait de son côté essayer une tenue faite pour elle, mais je ne la vis pas. Elle me « réservait la surprise ...
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