L'Île de Marana Chapitre 08
Datte: 10/10/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: byOmegaNu, Source: Literotica
... nous n'avons pas besoin de toi pour perpétuer notre espèce, nous adorons ta présence parmi nous, ce qui n'est pas le cas de tous les mâles. Nous adorons chasser les mâles qui ne nous conviennent pas, nous détestons ce genre de mâle, et nous n'avons aucun scrupule à les chasser, les emprisonner et les castrer, et même les torturer pour notre plaisir. Avant nous avions des milliers de mâles esclaves dans notre île. Mais toi, tu ne seras pas dans ce cas, tu es différent.
Les autres acquiescent et me sourient. La femme me redépose sur le sol.
Celles qui s'étaient levées viennent vers moi et me prennent. Je suis transporté comme un fétu de paille par ces géantes qui semblent m'apprécier. Je suis trop excité, tendu ainsi en l'air. L'une d'elles me prend sur son dos.
— Accroche-toi à moi. Nous irons plus vite.
Dehors, elles grimpent les rochers facilement et je me tiens à son cou musclé. Mon sexe frotte dans le dos, contre le mince tissu.
— Ne salis pas ma tunique, me dit la femme, retiens-toi.
— Oui madame, c'est presque impossible.
Nous arrivons au sommet et elle m'empoigne pour me passer devant. Alors, elle me masturbe tout en marchant.
— Tu es trop excité par nous, convient-elle. C'est le problème des mâles, vous ne savez vous contrôler.
Je jouis et elle rit. Nous marchons vite, elle me masturbe encore quatre fois, puis prend une feuille pour m'essuyer et me replace sur son dos.
— Je pense que tu peux tenir un petit temps.
Alors, elles se ...
... mettent à courir. Quelle vitesse. Nous allons plus vite d'une voiture, sans doute une centaine de kilomètres à l'heure, et elles ne semblent même pas essoufflées lorsqu'elles s'arrêtent devant une clairière de plantes bleues très belles.
La femme me dépose sur le sol.
— Tu vois, il ne faut prendre que les feuilles, pas les fleurs ni les écorces. Prends les feuilles qui sont le plus loin possible du tronc et des branches.
L'une me soulève et je peux cueillir quelques feuilles.
— Et si je suis tout seul? Je peux grimper à l'arbre pour en prendre? — Bien sûr.
On me dépose par terre. Elles cueillent des feuilles de diass qu'elles jettent dans un grand sac. Un bruit et je vois apparaître un groupe de sept géantes noires, des guerrières également.
— Bonsoir mes sœurs, dit celle qui semble commander.
Elles sont toutes en tenue de guerrière avec leurs armes et leurs bottes de cuir. Ces tenues sont fantastiques, impressionnantes et trop sexy.
— Vous venez cueillir du diass?
— Nous venons montrer les arbres diass à notre invité, Arno.
— Oh, vous avez un esclave?
— Non, c'est un touriste, mais il adore être nu, et il adore nos traditions.
Les nouvelles venues m'examinent avec intérêt. Je me sens bizarre, encore plus intimidé par ces femmes qui m'ont appelé « esclave ». Serait-ce des choses qui arrivent dans l'île? Après tout, c'est certainement possible.
Je suis ainsi tout nu entouré de onze guerrières dont sept d'entre elles ont tout leur ...