1. Anne-Sophie manie la webcam au doigt et à l'oeil


    Datte: 09/10/2018, Catégories: f, h, fh, couple, telnet, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Auteur: 5ème sans ascenseur, Source: Revebebe

    ... !
    
    C’est sorti comme un ordre de sa bouche. Un ordre trivial qui va à merveille avec ce qu’elle souhaite provoquer. Il ne peut plus voir son visage : elle se sent libérée et libertine.
    
    Elle observe son visage se tordre légèrement. Elle connaît ce rictus. Ça l’excite. Trop, peut-être, puisqu’elle se touche spontanément les seins. Ce n’est plus seulement lui qu’elle cherche à exciter. Elle mouille. Elle mouille depuis qu’elle a enlevé sa robe. À l’entrejambe, sa culotte est trempée.
    
    — Montre-moi le bas
    
    La demande semble mettre du temps à parvenir au cerveau de son mec. Dans l’état où il est, il s’exécute docilement. Son membre dépasse à peine de son boxer. Il a paré au plus urgent et s’astique en glissant sa main dans son boxer. Au fil des secondes, il cherche à se mettre à l’aise et passe sa paume sous ses couilles pour les ramener au-dessus de l’élastique. Elles paraissent beaucoup plus grosses que d’habitude. En un mouvement fugace, il dépose une noix de salive dans le ceux de sa main et reprend de plus belle son mouvement de piston.
    
    — Humm ça me donne envie…
    — C’est ma queue qui te donne envie ?
    — Ta queue, tes couilles, tout. J’ai envie de les embrasser, de les lécher, de les sucer, de la gober.
    — Enlève le bas, j’ai envie de te voir.
    
    Elle sent qu’elle perd le contrôle de la situation mais elle s’en fout désormais. Elle se lève tant bien que mal pour exhiber le reste. On voit maintenant son ventre et ses seins. Elle se rend compte ô combien un ...
    ... ventre peut être sensuel. Après tout, peut-être est-ce pour cela qu’il aime tant l’arroser puis le badigeonner de son jus encore chaud. La lumière du jour magnifie ses courbes. Elle en joue en posant négligemment une main sur ses hanches.
    
    — Oh oui, laisse ta main comme ça. Tes poignets d’amour me manquent. Si j’étais là je te ferais mettre à quatre pattes…
    — Comme ça peut-être ?
    
    En se mettant en levrette, elle avait repris la main. Elle donnait maintenant le spectacle de son corps totalement nu et de profil. Sur la droite, on devinait une oreille, une mèche de cheveux mais elle était surtout un corps brûlant qui s’exposait sans pudeur.
    
    — Et qu’est-ce que tu me ferais si j’étais en levrette ?
    — Je t’attraperais les hanches fermement et sans les mains je te pénétrerais tout doucement avec mon gland tendu.
    — Ensuite ?
    — Ensuite je m’enfoncerais jusqu’à la garde au fond de ta chatte et je te défoncerais sans ménagement, ma chérie.
    
    Il avait dit ça avec une pointe de gêne. Ils n’avaient jamais su être « vulgaires » pendant l’acte. En dehors les beaux discours allaient bon train mais une fois en action, ils n’arrivaient pas à assumer le jeu de rôle jusqu’au bout.
    
    — Et mes seins ? Qu’est-ce que tu ferais de mes seins ?
    — J’agacerais les tétons entre mon pouce et mon index. Je les pincerais jusqu’à ce que tu me demandes d’arrêter. Et quand tu aurais les bouts en feu, alors je te caresserais les seins à pleines mains…
    
    Cette tirade vient à bout de ses dernières ...
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