Alice au pays de la soumission (15) - Histoires de Sexe

Alice au pays de la soumission (15)

... ami.

— Avec joie, Maître Paul.

Alice dit cela devant les deux déménageurs. Paul les regarde, sourit en voyant que le plus âgé bande comme un âne. Le camion vide, Paul les invite à un verre à l’intérieur. Alice arrive avec cette trentenaire aux allures dociles.

— Mon ami, c’est de cette femme dont je t’entretenais hier. Elle est une remarquable secrétaire, elle connaît le droit et tout ce qui concerne tes activités professionnelles. De plus, elle possède un petit caractère bien trempé pour faire face à quelques clients peu courtois. Ma petite, voici un homme qui, en manque de personnel qualifié, recherche une secrétaire telle que toi. Il la veut soumise, lascive et sachant répondre aux mêmes attentes que les miennes. Serais-tu capable de devenir sa petite pute de secrétaire ?

— Oui Monsieur, Monsieur, puis-je vous apprendre que votre ami fut mon avocat pendant mon divorce.

— C’est vrai Paul, mais sérieusement, je ne pensais pas apprendre que tu étais une docile soumise avant aujourd’hui.

— Pourtant, si Monsieur se souvient bien, devant mes difficultés, je n’ai pas hésité à vous payer de ma personne.

— Alors, voilà mon contrat. Sois ma soumise, ma secrétaire et ma femme.

— Pardon, Monsieur, vous voudriez que moi, salope soumise, je devienne votre épouse légitime ?

— C’est exactement ce que je viens de te dire. Paul sera le témoin de ta réponse.

— Pardonnez ma surprise, Maître. J’ai souvent rêvé de vous avoir comme mon guide, mon sévère employeur. ...

... Vous me comblez par votre demande. Maître Paul, je suis d’autant plus heureuse de répondre que je vous demande d’être le témoin de ma soumission éternelle parce que je vous dis oui, Maître.

— Bon, messieurs les déménageurs, voici des femmes qui ne demandent qu’à vous être agréables. Vous pouvez les baiser de la manière qui vous arrange. Seulement, même si ce ne sont là que des soumises, je ne vous permets pas de les frapper. Cependant, si l’envie d’en fesser l’une ou l’autre vous prenait, ne vous gênez pas. Voilà pour vous récompenser, messieurs.

Intimidés par ce qu’ils venaient de voir, les deux hommes n’osent pas encore faire le premier pas. C’est Mathilde qui pousse l’une des clientes de Paul dans les bras du plus jeune qui déclenche une sorte de partouze comme Paul les apprécie, parce qu’improvisée. Très vite, quatre hommes s’en prennent à huit femmes pleines de désirs. L’argentier de Paul, lui, ne s’occupe que de sa nouvelle secrétaire et sous l’œil bienveillant d’Alice alors prise par l’un des déménageurs. Quand Karl arrive, il jette ses fringues aux quatre vents pour se jeter dans la mêlée des corps.

Fatigués, les deux déménageurs finissent par prendre congé. L’argentier ne sait pas encore comment remercier Paul pour son geste, sa trouvaille. Paul prend la main de la jolie soumise et la dépose dans celle de son ami. Peu après, ils s’en vont dans la voiture de cet homme, heureux comme un pinson. Dans la maison, Paul se montre d’excellentes humeurs. Il a reçu une ...