1. Marie - Ange & Démon (4)


    Datte: 08/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: FredM, Source: Xstory

    ... préfères que j’en parle à Marc.
    
    — Non, pas ça. En plus avec un arabe…Il sait que ce n’est pas du tout mon genre. Je t’en prie ne lui dis rien.
    
    — Alors…...Approchez jeune homme elle va vous sucer avant. N’est-ce pas chère Marie !
    
    Elle ne répond pas. Elle est vaincue. Le jeune est plutôt beau gosse. Je lui cède la place. La bigote doit se dire qu’il lui faudra faire pénitence pour se faire pardonner par son Dieu si difficile. Les miens, ils veillent sur nous et doivent sourire de ce qui se passe.
    
    Lorsqu’elle tire sur le short et le slip, la queue s’affiche déjà en belle tenue. Belle bitte qui se dresse vers le ciel, preuve d’une belle excitation. Pas de ces excitations molles d’amants blasés, non une érection de jeunesse, de celle qui font que le gland sort du slip, forçant par sa croissance l’élastique puritain.
    
    Lorsqu’elle le prend en bouche c’est vers moi qu’est dirigé son regard. J’ai déjà sorti mon appareil photo et filme en mode HD. J’en connais un qui va être étonné. Je n’ai pas du tout l’intention de cacher cela à Marc. C’est ma façon à moi d’être honnête, au moins honnête à mon correspondant, correspondant devenu mon confident et mon complice depuis que je lui ai appris que je baisais sa copine.
    
    Je filme donc. Le jeune a compris qu’il peut demander plus que d’habitude car il a affaire à une vraie salope qui le suce tout simplement parce que je lui ai ordonné. C’est sa main qui appuie sur la tête pour que les lèvres viennent buter contre les ...
    ... couilles. Je me sens des ailes de cameraman, un cameraman obéissant aux ordres de la luxure, de la perversité, du vice, qui immortalise ce moment.
    
    Les yeux qui pleurent alors qu’elle étouffe, la bite calée tout au fond de sa gorge.
    
    La reprise de souffle alors que l’homme la libère.
    
    Les flots de salives qui pendent de ses lèvres, de la queue, de son menton et qui forment des coulures sur ses seins.
    
    Le plus merveilleux de tout, alors que le soleil est mon complice, la lente progression des lèvres tout au long du gland, de la hampe, progression accompagnée par les mains de la garce qui prend l’initiative de palper les couilles du mec.
    
    Mais je ne veux pas, par prudence, que l’homme crache son sperme dans la gorge de Marie. On ne sait jamais !
    
    Aussi je fais signe au gars de se retirer. Marie a ce regard d’enfant que l’on prive de dessert. C’est finalement ce qui me plait chez elle, cette façon de passer de la bigote à la pute, de l’innocence à la femelle en chaleur, en une fraction de seconde.
    
    — En levrette. Dis-je.
    
    Visage changé, sourire pervers, elle s’installe. Le sol est irrégulier mais elle trouve son bonheur. Déjà à côté de moi le serveur est en train de mettre la capote qui nous a servi de carte de visite.
    
    C’est seulement une fois fait, qu’il la regarde et constate alors que le soleil n’est pas que dans le ciel. Il est aussi dans la raie de Marie, soleil miniature dont les rayons scintillent mais n’aveuglent pas comme son grand frère. C’est la pierre ...
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