Avec un lascar du RER (histoire vraie puis suite f - Histoires de Sexe

Avec un lascar du RER (histoire vraie puis suite f

... échapper au cas où et j’étais morte de honte. Voilà l’histoire et ça s’arrête là.

Mais depuis je me plais a imaginer la suite qui aurait pu être, je me masturbe plusieurs fois par jour depuis la semaine dernière en y pensant, et quand je croise des lascars je ne peux arrêter de m’imaginer entre leur queue à me faire insulter comme une salope. Oui c’est hard oui c’est lubrique mais oui c’est ce dont je rêve. Parfois je culpabilise et parfois comme maintenant j’ai envie d’avoir une farandole de queue de lascars autour de moi pour sucer jusqu’à faire couler mon mascara. J’ai peut être été formaté par le porno mais maintenant c’est vraiment ce qui m’excite c’est comme ça.

Pour revenir au type du RER je me suis sauvée. Mais tous les jours je fantasme d’un scénario différent, un scénario où je me fais baiser comme une chienne avec tout le plaisir dont je rêve.

Je m’imagine continuant à malaxer sa queue, me risquant même à passer ma main dans son jogging et y sentir quelque goutte de son liquide. J’aurais sortie ma main pour lécher mon doigt l’air de rien. Et puis voyant mon arrêt arriver je serai sorti, le tenant vers moi pour lui faire comprendre de me suivre. J’aurais pris mon temps sur le quai, me retournant pour voir s’il est bien la à quelques mètres derrières moi parmi tous ces gens. Il y serait et je continuerai ma route. Je serai sortie de la station et me serais assise sur un banc. Il serait venue à ma rencontre parfois je ne sais pas si je dois jouer la sainte ...

... nitouche ou si je dois lui dire à quel point je suis salope dès le début. Il vient en rigolant à côté de moi et s’assoit

« alors petite Salope »

Je pense que je ne saurais pas quoi répondre j’ai du mal à faire sortir les paroles lubriques réellement de ma bouche. J’aurais sûrement souri j’espère qu’il aurait continué à dire que je suis une Salope j’aurais fini par lui demander naïvement sans trop répliquer si il a un endroit où on peut aller. Ou parfois je m’imagine lui dire carrément que j’ai envie de sa bite et qu’il nous trouve un endroit rapidement.

Il n’y a pas grand chose autour mais beaucoup de monde et de voiture, j’ai pas envie de reprendre le RER pour aller chez lui j’imagine que j’aurais été impatiente. Comme finalement c’est un fantasme j’imagine qu’il m’a amené à environ 200m, dans la cave d’un bâtiment et puis voilà. Désolé pour le manque d’imagination mais même dans mes fantasmes je suis impatiente. On cours donc jusqu’à cet endroit et fini les barrières autant être une pute à fond je me jette donc sur sa queue.

Je baisse son jogging et elle est encore dure, je le regarde dans les yeux je gémis et je l’enfonce dans ma bouche

« - Hmmm elle est bonne ta queue

- ah ouais t’aime ça salope »

Je fais des vas et viens avec ma bouche je le branle en même temps, je l’enfonce au fond de ma gorge, je m’étrangle avec. En fait c’est lui qui pousse sur ma tête pour que j’aille au plus profond en proférant des insultes plus salaces les unes que les autres. ...