1. Un samedi pas comme les autres


    Datte: 08/10/2018, Catégories: ff, fplusag, extracon, inconnu, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral 69, occasion, Auteur: Bijanus, Source: Revebebe

    ... penche encore plus franchement que la première fois, mais beaucoup moins concentrée sur ma lecture cette fois-ci.
    
    Je vérifie quand même que la vue que j’offre est bien suggestive, elle l’est. Mon kimono bâille largement et dévoile ainsi une grosse partie de mes seins qui pendent comme deux grosses poires bien dodues et gonflées.
    
    Maintenant je l’observe discrètement tout en faisant semblant d’être absorbée par sa documentation. J’ai le plaisir de voir qu’une fois de plus son attention se porte sur ma poitrine.
    
    Son regard n’a rien d’anodin, c’est certain. Elle ne quitte pas des yeux mon décolleté. La tête toujours penchée sur ma lecture, je peux facilement la regarder sans qu’elle s’en rende compte. Sa langue court sur ses lèvres régulièrement, elle transpire le trouble par tous les pores de sa peau, sans ambiguïté.
    
    Je lève la tête enfin toute fière de mon succès et du plaisir qu’il me procure déjà. Elle est tellement hypnotisée par les charmes de ma poitrine qu’elle met quelques secondes à se rendre compte que je la regarde. C’est alors la panique totale, son visage passe au rouge vif.
    
    Pour la rassurer et faire comme si je n’avais rien vu de spécial je lui demande :
    
    — Selon vous, lequel de ces fabuleux placements est le mieux pour moi ? L’assurance vie ?
    
    La confusion ne la quitte pas pour autant, elle bafouille quelques mots auxquels je ne comprends pas grand-chose. Son regard fouille la pièce, certainement à la recherche de quelque chose qui pourrait ...
    ... lui permettre de reprendre pied. Elle finit par dire :
    
    — C’est joli ces trucs en bois là bas, qu’est-ce que c’est ?
    — Les espèces de maracas là-bas ? Ce sont des instruments de musique. Mon amie Sabrina me les a rapportés du Portugal.
    
    Je prends un malin plaisir à insister sur le « mon amie Sabrina » en lui faisant un large sourire. Je me lève pour aller les chercher et j’en profite pour tirer sur le côté le pan de mon kimono pour qu’il soit moins fermé.
    
    De retour, toujours debout, je me place à ses côtés et en me penchant sur elle je lui dis :
    
    — Regardez comme ils sont finement sculptés, c’est vraiment du travail soigné.
    
    Il n’est pas difficile de voir qu’elle a vraiment du mal à apprécier mes maracas, son regard se porte bien plus haut. Il est vrai que quand je regarde moi aussi dans cette direction, je peux comprendre que cela soit bien plus plaisant à contempler que mes jolis instruments. Ma position fait que mon kimono est largement ouvert maintenant. Mes seins sont visibles dans leur totalité. Mes bouts sont tendus et proéminents plantés au milieu de mes larges aréoles bien brunes. Je commence à être passablement excitée. Pour augmenter son plaisir, donc le mien par la même occasion, je me mets à agiter mes maracas.
    
    — Écoutez le bruit, c’est bien le bruit de grelot des maracas !
    
    Mes mouvements font ballotter mes seins, je les sens bouger au rythme des sons caractéristiques des instruments. Mes bouts frottent sur le tissu de ma veste, me procurant ...
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