1. UNE SEMAINE DE VACANCES 2/2


    Datte: 07/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... Anna, est toujours vétue de son paréo, sans rien dessous. J’admire leur plastique irréprochable.
    
    Nous avons trouvé un petit restaurant sympa, près du vieux port de pêcheurs, dans Biarritz. Nous sommes installés à une table, assez tranquille avec vue sur le port. Je suis installé en face de Sandra, et à côté d’Anna, qui est elle, à côté de Stefan. Nous dégustons des plateaux de fruits de mer arrosés de vin blanc frais. L’ambiance est décontractée, et nous apprenons à nous connaître. Nos nouveaux amis viennent de la banlieue de Stockolm. Stefan travaille dans l’industrie du papier, et Anna finit ses études de Kiné. Ils adorent visiter différents pays et ont une préférence pour la France. Nous apprenons qu’ils ne sont pas naturistes, au sens strict du terme, mais qu’ils ne détestent pas, quand les lieux et les gens le permettent, se passer de vêtement, voire même, pratiquer le sexe en plein air.
    
    Ce qu’ils ne nous disent pas, c’est qu’ils ont une bonne descente. Le vin frais coule à flots. Pendant que nous parlons, je sens le pied de Sandra, venir me chatouiller l’entre jambe. Elle a l’air ravie, et même rèveuse. Une main vient se poser sur ma cuisse, et remonte doucement. Ne voulant pas être en reste, je pose ma main sur la cuisse d’Anna, qui porte une robe droite, très courte, tenue par des bretelles. Le tissu est repoussé par mes doigts, qui atteignent sa fourche, libre de tout vêtement. Elle écarte les jambes, et avance le bassin, tout en continuant à plaisanter. Mon ...
    ... doigt trouve l’entrée de sa grotte et s’y enfouit. Le dessert arrive. Anna le déguste avec des « hmmm ! » dont j’ignore si ils sont dûs aux sucreries ou à mes doigts qui s’agitent en elle. Sandra, emet, elle aussi, de petits gémissement, et je finis par me convaincre que le dessert n’y est pas pour autant. Après un avoir pris un cognac (pas moi, car je conduis) nous repartons en voiture. Les deux filles, comme à l’aller se sont faufilées à l’arrière de mon coupé. Tout en conduisant, j’entends des soupirs qui montent depuis la banquette arrière. Stéfan, est tourné vers les deux filles et profite du spectacle. Une fois garés, nous basculons les sièges avant pour laisser sortir Anna et Sandra. La robe d’Anna retombe sagement cachant ses trésors, mais celle de Sandra a maintenant trois boutons dégrafés en haut, et quatre en bas. A chaque pas elle s’entrouvre dévoilant ses cuisses quasiment jusqu’en haut.
    
    Je leur propose un dernier verre, puisque je n’ai plus à conduire. Je sors une bouteille d’Armagnac, achetée en passant dans le Gers, et en sers quatre doses bien tassées. Les filles, déjà éméchées, trouvent ça trop fort et rigolent pour un oui ou un non. J’ai mis en sourdine, un peu de musique. Anna se lève et prend Sandra dans ses bras pour danser un slow. Stéfan et moi, sirotant notre verre observons sans mot dire. Anna déboutonne les boutons restants à la robe de Sandra et en écarte les pans, dévoilant ses seins, suivant la courbe des hanches. Elle ne porte rien sous sa ...
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