1. Le frotteur de ma cousine Valérie (1)


    Datte: 07/10/2018, Catégories: Hétéro Auteur: benoixlucel, Source: Xstory

    ... ne suis pas sûre d’entendre le réveil ?
    
    — Oui bien sûr.
    
    Elle regarde une dernière fois mon bassin que j’ai mieux dissimulé, puis elle remonte.
    
    Une fois recouché dans mon lit, je revois tous les souvenirs que j’ai de son corps ! En obsédé que je suis mon cerveau a pris comme une photo de chaque centimètre, chaque relief que j’ai pu distinguer ou deviner. Je bande comme un âne, je ne peux pas résister et je me branle en pensant au corps de ma cousine qui dort dans la pièce à côté. Tout un tas de scénarios m’amène très rapidement à inonder de sperme le t-shirt que j’avais pris à cet effet. Puis je m’endors en pensant au corps de cette petite mégère coincée qui devrait le montrer beaucoup plus à mon goût...
    
    quatre heures : le réveil sonne, je suis fatigué j’émerge doucement : où suis-je ? Pourquoi si tôt ? OK mes idées se remettent en place. J’entends le réveil de Valérie sonner dans la pièce voisine, puis je l’entends s’arrêter. Je me lève et je vais vérifier qu’elle est bien réveillée.
    
    Je passe la tête par l’ouverture de la porte, ce qui apporte un léger halo de lumière.
    
    — Valérie ! Valérie !
    
    Pas de réponse. J’entre. Elle est sur le dos les bras relevés au-dessus de la tête, complètement découverte, la couette est à ses pieds. Je m’approche et je vois le t-shirt remonté jusqu’à la naissance de ses seins, je vois même très nettement un téton sortir, il est planté au milieu d’une large aréole rose. Je la regarde et cette garce me fait encore ...
    ... bander.
    
    — Valérie ! Il est l’heure d’aller voir Mickey !
    
    Elle ronchonne et se tourne sur le côté, en chien de fusil, elle me laisse voir la forme de son cul qui est magnifique ! Ma queue est raide ! Je m’approche de son oreille et ainsi mon gland frotte contre ses fesses, séparées par les deux tissus que nous portons respectivement.
    
    — He cousine il est l’heure de se lever !
    
    — J’arrive...
    
    Pour ce « j’arrive » elle tend les bras et les jambes en avant pour s’étirer, et cela n’a pas d’autre effet que d’écraser ma bite sur sa fesse. Je me recule et descends déjeuner. L’organisation fait que nous ne nous croisons plus jusqu’au départ.
    
    Nous attendons dehors avec mon frère, lorsqu’elle sort. Elle est vêtue d’un gros pull, d’une écharpe encore plus grosse, le tout enfermé sous une parka huilée. Un jean et une paire de Parabout... Pas sexy pour un sou !
    
    Dans le bus, nous sommes séparés, elle avec mon frère et moi derrière avec une dame que je ne connais pas. C’est parti pour 2h30 de route. Je ne peux m’empêcher de me demander si, ce matin, cette petite séance d’exhibition n’était pas volontaire : après tout j’avais entendu son réveil quelques minutes avant de me rendre dans sa chambre sur sa demande... Je me fais sûrement des films !
    
    Une fois arrivés sur place, l’objectif est simple faire le plus d’attraction possible. Mais nous découvrons rapidement que pour une attraction de huit minutes, il faut parfois attendre une heure !
    
    Les files d’attente sont longues et ...
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