Marie, la decouverte 1 (2) - Histoires de Sexe

Marie, la decouverte 1 (2)

... lever et et de s’agenouiller devant moi. A l’aide d’un foulard qui traînait sur le portant où elle posait ses vêtements je lui attachais les poignets dans le dos. Elle se laissa faire sans dire un mot mais ses yeux brillants m’indiquaient que cela l’excitait. Je sortis alors ma verge dure comme du bois de mon pantalon et l’approchait de son visage. Les lèvres humides et entrouvertes elle n’attendait qu’une chose c’est de pouvoir enfin goutter au fruit de ses désirs. Prenant un malin plaisir à retarder ce moment je lui fit d’abord quelques tapes sur les joues avec mon sexe, évitant bien qu’elle le gobe au passage et quand je vis qu’elle n’en pouvait plus d’attendre je la laissais enfin attraper sa proie entre ses douces lèvres. je profitais du fait qu’elle était attachée pour pousser un peu plus loin que d’habitude mon sexe dans sa gorge et même si je vis quelques larmes perler sur ses yeux magnifiques, elle accepta cette épreuve.

Je lui pinçais ses tétons et les faisais rouler entre mes doigts pendant ce temps ce qui la fit gémir de plus en plus en même temps qu’elle accélérait le ...

... rythme de sa fellation.

Ne voulant pas jouir avant elle je me retirais sentant le plaisir venir. Toujours à genoux, je la fis se tourner vers le lit et lui appuyant sur les épaules, je lui fis poser son torse dessus pour la mettre en position idéale pour une levrette. Son cul mis en valeur par sa guêpière et ses bas décupla mon envie et je la pris d’un coup. Sa chatte complètement trempée reçut ma queue raide comme un bâton sans aucune résistance lui donnant de violents coups de bite tout en la tenant par sa queue de cheval, je voyais son anus vibrer au rythme de ma chevauchée et mis peu de temps à exploser en même temps qu’elle d’un plaisir jusque là jamais égalé. Je défis alors le lien qui lui tenait les poignets et la retournant nos bouches se rejoignirent dans un baiser très chaud, nos langues se rejoignant dans un ballet érotique.

Epuisés, nous nous sommes alors couché. Nous venions de faire le premier pas sur la route des plaisirs sulfureux. Plein d’idées perverses accompagnèrent mon sommeil car je savais que maintenant j’allais pouvoir les réaliser pour notre plus grand plaisir.