COMMENT J'Y SUIS VENU EP 10 : APTE POUR LE SERVICE
Datte: 07/10/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Charly Chast, Source: Hds
COMMENT J'Y SUIS VENU
EP 10 : APTE POUR LE SERVICE
A leur tour, ils devenaient câlins avec moi. Mais pas que ! Les enfoirés ! Ils ne parlaient pas de me libérer ? Je décidais de ne pas aborder le sujet dans l'immédiat et puis j'avais la possibilité de découper en limaille le cadenas si je le voulais. Oui je sais en limaille c'est une grosse colère mais bon si je m'énerve moi ... Il ne faut pas me chercher !
Un bon mois s'était passé depuis cette soirée, je personne n'avait parlé de me retirer ou pas le dispositif de chasteté. Je n'en parlais pas non plus. Ça se passait bien finalement. J'avais déjà passé un mois avec ce dispositif sur moi et tout s'était bien passé. Pour le moment je ne m'inquiétais pas vraiment. Mais comme je vous le disais plus, j'étais peut être sous clé, mais c'était volontaire !
De nouveau je devenais plus câlin, mais que ! Je devenais plus réceptif. Un soir ils m'ont fait un mauvais plan … Les enfoirés !
On faisait une soirée, chez quelqu'un que je ne connaissais pas. Je me disais bien '' Oula ! Je sens qu'ils vont me faire un mauvais plan ! ''. Francis avais sa tête de farceur, je veux dire par là, encore plus que d'habitude et c'est tout dire. Sur la route Didier aussi avait un sourire de circonstance.
C'est Didier qui conduisait, ils m'emmenaient à la campagne pour passer le week end. J'aime bien la campagne moi. On peut faire de grandes promenades, les soirées d'hiver devant la cheminée à discuter en savourant un bon verre de vin. ...
... Je me souvenais d'une soirée comme ça. Avec un ami on avait passé un week-end délicieux. La cheminée nous réchauffait, on était allongé sur un tapis très épais. On était resté à poil pendant deux jours et on n'avait baisé aussi pendant tous le temps qu'on était à poil. C'était un bon souvenir.
Ça faisait cinq semaines que je ne m'étais pas tripoté la nouille. Je me demandais ou on allait. Je n'étais pas inquiet mais tout à fait serein, ce sont des farceurs pas des satyres. On roulait près de deux heures, on traversait un petit village, on suivait une route secondaire puis une petite route qui semblait avancer entre deux champs. C'est un coin paumé !
On s'arrêtait finalement sous un arbre, je regardais autour de nous … Il n'y avait rien !
Moi : Mais vous m'avez emmené ou ?
Didier : Chez un ami, tu ne le connais pas !
Moi : Mais on n'est nulle par ici !
Francis : Mais si, regarde là juste derrière le gros buisson, on aperçoit une maison.
On sortait de la voiture et en effet il y avait une belle maison, pas très grande mais très jolie. Une petite maison de campagne très bien restaurée avec des massifs de fleurs devant. Ça devait être calme, peut être un peu trop même mais c'est une question de goût.
La porte s'ouvrait et un homme que je ne connaissais pas nous faisait signe, il nous souriait. On entrait, l'intérieur était simple mais agréable. Mobilier rustique mais de bon goût qui allait très bien avec le décor extérieur. Il faisait un peu frais dehors ...