COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Saison IV (17/21)
Datte: 06/10/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... Louis d’or.
- Mais qui nous rende riche pour ruiner ce salopard d’Olivier.
- J’ai intérêt de faire attention à moi il semble que tu aies la rancune tenace.
- Pas avec toi ma Laurette chérie.
Elle part retrouver ses chevaux jusqu'au bruit caractéristique de ma future auto se faisant entendre.
Ces vieilles voitures ont un bruit bien à elle, celle-là ne déroge pas à la règle.
Mon chevalier servant se présente à moi.
- Olivier va dans ta cuisine et enlève tes vêtements et va mettre ton tablier !
Fait le ménage, Laurette t’a préparé tout ce qu’il faut, j’ai horreur de la poussière.
Mets-le et viens nous servir, demain nous irons faire des courses au supermarché, nous arrivons à la fin des victuailles préparés par ma gouvernante.
Ne te tracasse pas, je vais te donner de l’argent.
Tu n’oublieras pas de me rendre la monnaie.
Humiliation suprême, je jouis moins qu’avec mon inconnu.
Non, on peut dire que je jubile, lui demander la monnaie ça doit le casser et pourtant il doit fermer sa grande gueule.
Il part.
Laurette revient le gloussement qu’elle émet en venant s’asseoir sur mes genoux me dit qu’il est nu comme je lui ai demandé mais avec le petit tablier blanc que je lui fais mettre depuis l’autre jours.
Une de mes mains s’occupe de sa chatte pour l’exciter étant dénudées toutes les deux.
- Véronique dommage que tu ne le vois pas.
Comme l’autre fois, il est mignon avec son petit tablier blanc !
Comme l’autre fois il bande ...
... nous montrant son baobab qui est loin d’être impressionnant, là encore il se vante.
J’entretiens son sexe en érection par les baisers enflammés que nous nous échangeons.
- Tu aimes mon Olivier, regarde comme c’est beau deux femmes qui s’aiment.
J’aime te faire voir comme elle est à moi et moi à elle.
- Continue ta caresse dans mon vagin tes doigts sont divins.
Je plane chérie, regarde Olivier un jour tu nous auras toutes les deux riens qu’à toi.
- Comme je te l’ai dit moi aussi l’autre fois, il faut que je t’aime Véronique pour supporter vos turpitudes.
Mais, je peux vous laisser quelques minutes, je dois retourner chez moi, je viens de recevoir un message ses gens de mon chai, l’E.D. F est là pour me couper le courant.
- Va mais revient dès que tu auras fini.
- Sers-nous le café et va.
Une fois de plus, le rire nous prend rendant incrédule notre valet qui retourne vers sa cuisine et reviens nous servir un bon café.
Il part, j’entends qu’il démarre sa voiture.
- Dis-moi, quand je parle de mes amants, j’espère que tu n’étais pas jalouse de ne pas en avoir eu avant ton inconnu ?
- Pas avec toi ma petite Laurette chérie, depuis le temps que l’on se connaît tu aurais pu tester ma rancune quand tu te laissais draguer pendant que je tenais la chandelle.
- Tu étais jalouse ?
- Plus que cela, plusieurs fois j’ai failli t’étrangler.
- Et dire qu’une fois ou deux mes amants voulaient que je t’invite à te joindre à nous, mais tu vois tu ...