1. Déchéance d'une belle-soeur...ou salope parisienne en devenir ! (2)


    Datte: 06/10/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... : le mari payait de sa poche les artifices dont profiteraient d’autres hommes.
    
    2400 euros ! “Chère” Sylvie ! J’espérais que Raphaël aurait bientôt un retour sur investissement !
    
    Mais avant cela, il faudrait que sa femme soit offerte à un troupeau de bites, dégradée, humiliée, dépravée... avilie...
    
    Je savais d’entrée de jeu comment ma belle-sœur allait quitter les galeries : une robe moulante grise, s’arrêtant mi-cuisses, des escarpins noirs, des bas couture noirs, et le porte-jarretelles de la même couleur... et c’était tout.
    
    Raphaël s’en étrangla, il essaya de dissuader sa femme de se promener nue sous sa robe dans les rues de Paris, mais Sylvie, avec un mauvais regard, lui déclara que cela pouvait être pire encore ! Il faisait semblant d’être le gentil mari qui a honte que sa femme se promène dans la rue, avec rien sous sa robe, les seins dont les pointes perçaient au travers du tissu moulant, et le petit buisson au contact des courants d’air ! En réalité, cette situation l’excitait pleinement ; il se demandait juste ce que j’allais encore bien pouvoir faire “endurer” à sa femme, autrefois si prude !
    
    Je choisis alors, par pure perversité de nous installer sur différentes terrasses de café avec des vues bien dégagées...évidemment, Sylvie s’asseyait toujours sur des chaises, bien à la vue des autres hommes. Elle voulait vraiment en faire baver à ce pauvre Raphaël ! Beaucoup eurent tôt fait de remarquer que la grande blonde en robe courte ne portait pas de ...
    ... culotte sous son porte-jarretelles ! Et qu’en s’y prenant bien, on pouvait distinguer par moments son petit chaton sous la robe...
    
    L’un d’entre eux était obnubilé par le jeu de jambes à la "Sharon Stone" de ma belle-sœur. Il ne cessait de fixer son entrecuisse, attendant le moment où Sylvie décroisait les jambes, laissant apercevoir le triangle de poils blonds... et la fente !
    
    J’avais d’emblée identifié son manège... il était temps de repousser les limites de l’apprentie salope !
    
    — Ah, je crois que tu as un admirateur !
    
    — Pas étonnant, à force de t’exhiber comme une pute en chaleur ! Et qu’est-ce que tu vas faire maintenant ? Tailler des pipes dans les chiottes ?
    
    — Raphaël, tu me fais chier !
    
    — Mais non, voyons, elle n’oserait pas ! C’est ta femme quand même !
    
    — Ah bon ? Vous me mettez au défi ?
    
    — Mais non, allez, rassieds-toi Sylvie. De toute façon, on n’aurait pas de preuves de ce que tu aurais fait ou pas avec ce type !
    
    — Et si je lui dis de me prendre en photo avec mon portable...ça suffira ?
    
    — N’importe quoi ! Tu vas te calmer Sylvie. Et s’il te viole ? Moi, ton mari ou pas, je te laisse te démerder avec ce type !
    
    — Bon, écoutez les enfants, je vais vous départager. Sylvie, tu dis à ce type de te suivre, il te tripote un peu et ça s’arrête là... OK ?
    
    — Ça n’en restera pas moins une salope quand même !
    
    — Tu le redis encore une fois et je lui demande de m’enculer... OK ?
    
    Raphaël se tut. Sa femme s’approcha de moi et me dit à l’oreille ...