1. Les délices du temps


    Datte: 06/10/2018, Catégories: fh, hagé, fagée, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, Auteur: Macapi, Source: Revebebe

    Rien de tel qu’un regard rempli de désir pour me donner des idées coquines. C’est que ses yeux pétillent, à Philémon, sa main dans la mienne, moi le tirant tout sourire vers ma chambrette. Si c’est possible, je ne fais pas de chichis, j’ai passé l’âge pour cela, mais des fois, il y en a qui s’offusquent et je ne suis pas du genre contrariante, alors je respecte chacun selon ce qu’il est.
    
    Sitôt la porte refermée, je lui désigne le petit fauteuil où il prend le temps de s’installer confortablement. Lui si bavard tout à l’heure, il n’ose plus dire un mot, le pauvre. Tous pareils les hommes, des grands timides au fond. Mais j’ai mon idée pour lui ôter sa timidité, foi d’Alphonsine.
    
    Je me retourne vers lui et déboutonne tranquillement mon corsage. Sûr qu’il aurait fini par le faire, mais bon, c’est moi qui l’ai entraîné ici, c’est moi qui le mènerai à bon port comme on dit. Les yeux grand ouverts, il regarde, ça oui, il n’en perd pas une miette. J’y vais donc très lentement, pour faire durer le plaisir. Il a de la chance, il doit bien y avoir une quinzaine de boutons, juste pour lui tout ça. Là, je sais qu’il commence à reluquer mon soutien-gorge. C’est un beau modèle blanc avec de la dentelle là où il faut et un petit nœud rouge juste au milieu pour attirer l’œil.
    
    Pas très remuant, Philémon, enfin, du moment qu’il apprécie le spectacle. Et à voir sa bouche ouverte, je crois qu’il en baverait s’il penchait un peu trop la tête. Ça me donne des idées, je garde ça pour ...
    ... tout à l’heure. Je termine de défaire le dernier bouton un peu rebelle. J’hésite à tout enlever maintenant, mais bon maintenant ou plus tard, ce serait fait, allons-y pour enlever. Je dépose le corsage devenu inutile sur la table près du fauteuil. Et là, surprise, ne voilà-t-il pas que Philémon, ce coquin de Phil, s’en empare et le porte à son nez, à sa bouche, je ne sais pas trop s’il veut sentir ou goûter. Il a de bonnes prédispositions, je crois qu’on va bien s’amuser tous les deux.
    
    Je m’approche de lui à petits pas. Il me regarde sans sourire, pas avec sa bouche en tout cas, parce que ses yeux bleus, c’est deux soleils ambulants. Et qui vous dévisagent rapidement avec ça. Il a tout noté, mon ventre avec ses bourrelets, le cou un peu desséché, les épaules encore rondes et surtout, ça j’en suis certaine, mes tétons qui pointent à travers le tissu satiné blanc.
    
    Je lui reprends le corsage pour le remettre sur la table. Je place ensuite ses mains sur mes seins, comme pour lui donner la permission d’aller plus loin, d’explorer. Mais il le sait qu’il peut me toucher, c’est juste moi qui suis impatiente. Il sait y faire, il pétrit mes deux amas globuleux, comme je les appelle parfois. Et ça y est, je gémis, mes bouts sensibles aux roulements de ses doigts à travers mon soutien-gorge. C’est comme s’il savait exactement ce que je veux.
    
    Pour ne pas être la seule à être dépoitraillée, je lui enlève sa chemise, les boutons sont faciles, on voit qu’il l’a portée souvent. C’est ...
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