Astrid et Julia (6)
Datte: 05/10/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: imaxparis, Source: Xstory
... table !
Nous rions tous les trois de cette bonne blague. Je renquille ma main dans la chatte de Julia car cette fois-ci j’ai décidé de la faire jouir. Je ne lui laisse aucun répit. Je la défonce à la vitesse d’un marteau-piqueur. Au bout de quelques minutes de ce traitement, son corps s’arc-boute et s’affaisse suite à l’orgasme d’une puissance inouï qu’elle vient d’avoir.
Julien veut profiter de l’élargissement de son con. Il la fait mettre debout et l’enconne par-devant. Ça rentre tout seul. Il lui demande de se suspendre à son cou et fait un signe à Marc. Celui-ci comprend vite, il se colle à Julia, lui empoigne les seins et finalement l’encule sans préparation, à sec. Elle pousse uniquement un petit cri, plus de surprise que de douleur. Son anus commence à s’habituer aux pénétrations violentes.
Ils la font monter et descendre sur leur vit. Sa tête ballotte dans tous les sens. Marc lui étire ses tétines et les tord. Elle crie. Julien la bâillonne avec sa bouche par un baiser vigoureux auquel elle répond activement.
— Le moins qu’on puisse dire c’est que c’est une bonne salope, dit Marc, je suis au fond de son cul et on sent qu’elle aime ça. T’en penses quoi Julia ?
— J’adore être doublement pénétrée. C’est bon vos queues qui me liment comme ça. Continuez c’est trop bon.
— On ne va pas s’en priver, rétorque Julien.
Mes deux compères, déjà en sueur, se déchaînent entraînant jouissance sur jouissance de la part de Julia. Ils sont tellement excités de ...
... baiser une gamine qui en veut autant qu’ils ne tardent pas à envoyer leur semence dans ses deux orifices.
Ils la déposent, l’entraînent vers le canapé où elle s’écroule, épuisée. Nous allons nous restaurer laissant Julia se reposer.
Marc me demande si, hormis hier soir après sa désobéissance, je la fouette et la fesse régulièrement. Je lui réponds que non, hier soir c’était la première fois.
— Tu devrais le faire plus souvent, sinon elle va t’échapper dès que tu relâcheras la pression. Ce genre de fille a besoin d’être dressée. Elle cherche l’autorité, pas la compassion.
— Oui mais là je n’ai pas de raison de la punir.
— Si elle ne nous a pas nettoyé après que nous ayons fini. Tu as de quoi l’attacher bras en l’air ?
— Oui dans la pièce de loisirs en bas.
— Alors allons-y. On la réveille et on la travaille au fouet et au paddle.
Ni une, ni deux, on l’amène dans la salle aménagée en auditorium. Elle semble surprise. Elle se demande ce qui va lui arriver.
— Tu vas en baver ma belle, lui dit Julien. Tu es punie !
— Mais je n’ai rien fait.
— C’est justement ce que l’on te reproche. Tu as oublié de nettoyer nos sexes après qu’on ait fini.
— J’étais fatiguée.
— Ça n’est pas une excuse.
— Vous allez me fouetter comme hier au soir.
— Oui mais là tes fesses vont prendre aussi.
On l’attache les mains en l’air à une poutre au plafond. Je lui ferme la bouche avec du sparadrap. Son corps suspendu est maintenu en extension. Ses pieds sont à peine ...