1. Texte pour Lololatex (1)


    Datte: 05/10/2018, Catégories: Transexuels Auteur: Sam9, Source: Xstory

    ... Entièrement nue, tout comme toi.
    
    En sentant sa peau se frotter contre la mienne, je pousse un gémissement de désir. Mais très vite mon sexe s’écrase contre la paroi de la cage. Mon gémissement se mue alors en gémissement de douleur.
    
    Le sourire cruel de ma Maîtresse réapparaît alors. Ses mains se lancent à l’assaut de mon corps et lui prodiguent caresses et agréables blessures.
    
    Mon sexe se débat contre la cage et lutte pour obtenir plus d’espace. La douleur me fait crier.
    
    Maîtresse découvre alors que je suis très sensible des tétons. Elle les saisit alors entre ses griffes et ricane en voyant mes soupirs de plaisir se transformer en grimace de douleur.
    
    Mon corps ne sait plus où donner de la tête et je crie, implorant ma Maîtresse de m’épargner. Mais je n’obtiens pour toutes réponses qu’un long rire sadique.
    
    Pour se libérer les mains tout en continuant à me faire souffrir elle place une pince japonaise sur chacun de mes tétons. Mes cris s’amplifient. Mon corps demande grâce. Ma bite me semble sur le point d’ exploser.
    
    Je sens alors le corps de Maîtresse être parcouru de frissons. Elle est en train de se masturber. Le plaisir monte en elle au fur et à mesure qu’elle savoure ma détresse.
    
    — Regarde-moi Louise. Regarde ton fantasme se masturber si près de toi. Regarde-moi en sachant que tu n’auras jamais le privilège de me faire jouir, ni même de me toucher. Tu vas rester dans cette cage Louise, tu vas...
    
    Son corps semble soudain traverser par une ...
    ... décharge électrique. Elle pousse un mugissement de plaisir et s’écroule sur moi. Essoufflée, mais comblée.
    
    Quelques instants de récupération plus tard, elle me libère et m’enfile un uniforme de soubrette, une paire de bottines munies de talons de 12 centimètres cadenassés à mes pieds et elle ajoute comme touche finale un rosebud entre mes fesses, un collier cadenassé à mon cou et surtout un bracelet à chaque poignet pour qu’à chaque instant je puisse être immobilisée.
    
    Conformément à ses ordres, je nettoie l’appartement dans cette tenue. Je tombe à de nombreuses reprises à cause des talons, mais les coups de cravache m’apprennent à être à peu près stable très vite.
    
    Une fois l’ appartement nettoyé, je mets donc la table pour 4 personnes comme Maîtresse me l’a ordonnée. Mais à peine ai-je fini que la sonnette retentit.
    
    Maîtresse me passe donc une laisse à mon collier et me met à genoux devant la porte avant d’ouvrir.
    
    Eve et deux autres jeunes femmes (une rousse et une brune) entrent alors et font la bise à Maîtresse sans même me regarder. Chantale les invite à table et m’ordonne de faire le service.
    
    Elles discutent entre elles ne m’accordant pour seule attention que griffures et pincement. Puis Maîtresse m’interpelle.
    
    — Souillon ! J’ai fait tomber ma fourchette sous la table. Ramasse là !
    
    J’obéis et me glisse sous la table, mais ne vois pas de fourchettes. Maîtresse me saisit alors le visage et le plaque sur son sexe. Je comprends alors qu’elle exige de moi un ...
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