histoire 7: l'horreur
Datte: 05/10/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Inceste / Tabou
Auteur: patriciab, Source: xHamster
... vue des autres. Il me fait écarter les grandes lèvres. Je suis obscène.
On arrive à Nieuport. Avant la plage, on a envie de faire l’amour. J’indique un endroit à Gérard.
Près de la base de Lombartsijde, de l’autre côté de la route, il y a deux ou trois hectares de paysage dunaire herbeux, au relief faible mais plein de petits coins calmes. Je lui dis de me laisser 5 minutes d’avance puis de venir me retrouver.
À quelques mètres d’un sentier, je trouve une petite surface sympa. Je mets le drap de bain par terre, enlève ma robe que je vais déposer sur le sentier pour que Gérard me retrouve. Je m’allonge sur le dos, jambes pliées, écartées et j’attends, les yeux fermés.
Gérard arrive. Manifestement l’idée d’être les fesses à l’air lui fait peur. Je lui fais prendre ma place, lui sors son engin et m’empale dessus, le chevauchant. Le terrain est à peine ondulé, je vois le tram passer le long de la route. Un peu calmés, nous repartons.
Arrivés au centre de Nieuport Bains, près de la plage, je remets mon slip. Nous allons sur la plage où je me retrouve seins nus. Gérard m’encourage à me baigner. Je suis la seule à montrer les petits. C’est troublant. Il invente une partie de boules. Je me sens très nue.
À midi, nous partons manger à Nieuport Ville. J’ai un foulard dans la voiture qui pendant de chaque côté du cou cache un peu mon inconvenance. Le personnel a l’air un peu choqué malgré tout.
Nous quittons la côte. À peine dans la voiture, je me retrouve nue, ...
... comme au matin. La circulation est dense. Il tire sur mon pied gauche pour m’ouvrir davantage.
Entre Gistel et Westkerke nous restons collés contre un camion Tchèque. Dépassé, nous restons devant. Il fait des appels de phare. Gérard me demande s’il peut sortir à l’aire de Westkerke. Il sort, le camion aussi.
Nous nous retrouvons stationnés l’un derrière l’autre.
Gérard me dis de mettre ma robe et d’y aller. Je ne bouge pas. Quand il me dit que Flo y serait déjà, je suis mortifiée.
J’y vais. Je suis là, debout près de ce gros camion jaune, offerte aux regards à travers ma robe. La portière s’ouvre, le type en descend. Ils sont deux !!!
Avant d’avoir pu dire quelque chose, il me prend par les hanches et m’ide à monter. Ils parlent un anglais de cuisine.
Il remonte, ferme la portière, me trousse comme on dépiaute un lapin et me fait passer sur la couchette. Un désordre et une netteté douteuse.
Ils sont soumis à leur contrôle horaire, c’est évident… Avant d’avoir échangé un mot, il a sorti sa queue et me l’enfonce. Longtemps qu’il est au régime, ça va vite. Le deuxième suit, idem.
À peine fini, ils me font descendre, la robe à peine passée aux épaules.
Je cours à la voiture qui repart. Gérard ne dit rien sauf de me remettre en position. Comme je reste ébahie, il ajoute qu’il y a d’autres parkings.
Je me sens sale, transformée en vide-couilles. Je voulais me soumettre, c’est fait.
Kilomètre après kilomètre je montre mon cul, je me tortille pour mieux ...