1. Amitiés Et Jeux "Interdits" Secrets Entre Mecs (2)


    Datte: 12/05/2022, Catégories: Gay Vos histoires Auteur: Stéphane, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... être sur un autre fuseau horaire : toujours à la bourre.
    
    Quelques jours après, un soir, Michel et moi décidâmes d'aller à la sauna. Aie, que va-t-il m'inventer ce coup-ci ? A poils, assis sur nos linges, nous nous levions de temps en temps chacun notre tour pour balancer une louche de flotte sur les braises artificielles pour augmenter la chaleur et faire de la vapeur. Evidemment, nous commençâmes à parler de sexe et je finis par avoir une légère érection. Michel ne tarda pas à voir ma queue augmenter de volume.
    
    - Ha, tu commences à bander !
    
    - A poil, dans une sauna, si on me parle de cul, désolé mais c'est un risque !
    
    Lui ne bandait pas, rien de rien. A n'y rien comprendre mais bon.
    
    - Je connais un truc dans ces cas-là !
    
    Dit-il.
    
    Il alla chercher une louche pleine d'eau glaciale et la versa sur ma bite. Résultat immédiat, affaire réglée.
    
    Retour dans notre piaule après la douche. Couchés au lit.
    
    - Massage SVP !
    
    Demanda-t-il.
    
    - Oui, Monseigneur.
    
    Je vérifiai la porte. Seules nos lampes de chevet étaient allumées. A califourchon sur ses jambes, rebelotte. Massage n°359, je ne les comptais plus mais çà me faisait plaisir de prendre soin de lui, de quelqu'un que j'appréciais vraiment. A l'occasion, il me massait aussi mais je pense qu'il préférait le contraire car il était moins doué que moi à ce jeu.
    
    Ce soir-là, il portait l'habituel tee-shirt blanc et un caleçon blanc assez ample. Je lui fis un bon massage, comme d'habitude, une trentaine de ...
    ... minutes, et nous papotions ce faisant. J'entrepris ensuite de lui faire des mouvements de gymnastique en lui repliant les jambes sur les fesses puis en les lui écartant etc. Je remarquai alors que j'avais une vue plongeante dans son caleçon, depuis derrière, et vis ses deux grosses couilles imberbes, deux beaux abricots bien rigides que j'avais envie d'aller lécher. Je n'avais qu'une envie : plonger le museau là-dedans pour aller sentir ses beaux grelots. Je vis soudain ma bite, qui avait fini par sortir par la fente de mon slip et qui commençait à dégouliner sur son dos. Bordel, s'il se retourne, je suis dead. Mais non, il dormait l'animal, car je perçus maintenant ses ronflements. Ouf, sauvé par le gong. J'éteignis les loupiotes et regagnai mon pageot pour me branler comme un con.
    
    Mais le temps passa. Voici arrivés l'automne, puis l'hiver. Nous dormions alors en tee-shirt et caleçon long. Un soir, nous étions dans nos plumards à écouter de la musique ou à lire un bouquin. Vers 23h00, extinction des feux et bonne nuit. Au bout d'un bon moment, j'avais un peu froid et ne parvenais pas à trouver le sommeil. Je me retournai, encore et encore. Pff.
    
    - Tu ne dors pas non plus ?
    
    Me dit Michel.
    
    - Non, fait chier et je me les gèle un peu !
    
    - Ben viens au chaud dormir avec moi va !
    
    J'hésitai un peu mais nous avions oublié de mettre le radiateur en route et je commençais à grelotter. Je me glissai finalement hors de mon lit pour rejoindre Michel sous son grand duvet. ...
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