De Hervé à Vanessa, chienne soumise (30)
Datte: 06/02/2018,
Catégories:
Transexuels
Auteur: tomy83, Source: Xstory
(OUPS... Comme on me l’a fait remarquer, Adélia s’est transformée en Aléxia. J’en suis navré, revoici le retour de la charmante Adélia. Encore mille excuses).
— Non, du tout... Dis-je en l’emmenant hors de la cabine. Tu vas vérifier par toi-même...
Je la tire par la main. Nos doigts se sont enlacés, j’en rigole. Elle me regarde avec interrogation. Je lui montre notre union, elle rougit. Je me bloque dans le couloir et la tire à moi. Je la regarde dans les yeux et l’embrasse presque amoureusement. Elle ferme les yeux. Je lui mets une petite tape sur la fesse, elle a compris. Elle les rouvre. Notre baiser, je devrais dire notre jeu de langues s’éternise. Ce moment est bizarre pour moi. C’est la première fois que je me retrouve seule avec quelqu’un, sans un membre de ma famille. Elle me touche les couilles de sa main libre. J’ai la même réaction qu’à chaque fois, je pousse un cri strident et lève une jambe. Elle s’arrête, interloquée.
— Je t’ai dit que je jouis comme une fille...
Elle continue son malaxage, le sourire aux lèvres. Je la prends dans mes bras.
— C’est bon ce que tu me fais, continue... Humph... Ouiiii, c’est bon...
Des personnes passent en nous bousculant, on n’en rien à faire, on reprend nos embrassades torrides. On s’échange nos salives, on se boit. Délicieuse petite blonde. Je la repousse vers la cabine que l’on vient de quitter. Elle me regarde avec étonnement.
— Désolé, j’ai envie d’abuser de ton corps... Tu es si... Euh...
— ...
... Ronde ?
— Non, accueillante...
À ces mots elle se jette sur ma bouche qui s’ouvre sous l’assaut de sa langue. Elle fouille ma bouche, sa langue virevolte avec la mienne. Elle va jusqu’à caresser mon palais. J’atteins l’extase juste par ce contact sensuel. Mes mains partent à l’aventure sur son imposante poitrine. Je lui triture les tétons, lui tire, les malmène. Elle hésite à jouer avec les anneaux sur mes seins. Je lui indique le chemin, elle le trouve. Elle tire doucement, à ma réaction plus que positive, elle s’enhardit. Ma bite frotte sur son ventre, l’inondant de liquide transparent. On se regarde sans se voir, sans un mot, sans aucun son. Seul le bruit de nos baisers et de nos respirations couvre le bruit de la douce sono. On se touche, on explore nos corps. Je masse maintenant ses larges fesses.
— C’est la première fois pour moi. Lui dis-je entre deux coups de langue.
— Quoi, la première fois...
— Tu sauras peut-être un jour.
On s’est allongée sur le lit fait de lattes de pins. Je ne la baise pas, je lui fais l’amour. Je suis partagé entre la sensation de plénitude et de culpabilité. Je tourne la tête et j’aperçois Malika, Adélia et Théna qui nous regardent avec envie. Je leur fais signe de rentrer. Au bruit de la porte, Gladys se relève.
— Alors les amoureux, on nous a oubliés ? Dit Malika en s’agenouillant entre les cuisses de Gladys.
— Hummm, un gabarit de rêve pour Maria, poursuit Théna, un corps rond et plein, bien tendu.
— Tu crois ? Lui ...