1. Il y aura donc une suite


    Datte: 05/10/2018, Catégories: fh, douche, fsoumise, fdomine, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fdanus, piquepince, confession, hff, fbi, sm, Auteur: Christophe H, Source: Revebebe

    Résumé : J’en sais désormais un peu plus sur le parcours de Karine et son addiction au sexe. Sa maîtresse Oriane étant de retour, je dois aller la remercier de m’avoir mis sa soumise à disposition.
    
    J’avais pris mon temps pour revenir à l’hôtel, pour que les autres convives ne soupçonnent pas que j’avais passé la matinée avec Karine. Je restai un moment sur le parking à regarder la cinquantaine de Harley-Davidson qui s’alignaient. Quelques gros bras faisaient pétarader leur moteur dans un concours deburns ; les pneus laissaient dans l’air leur odeur âcre et sur le bitume des traces fumantes. Je vis Oriane retirer son casque, récupérer celui de sa passagère, et les ranger tous deux dans le coffre arrière de sa bécane. Elle portait un magnifique blouson en cuir rouge vermillon, assorti à la couleur de sa Harley, et un pantalon de cuir noir tellement moulant qu’un W se dessinait à l’entrejambe.
    
    Oriane semblait m’ignorer, papotant avec ses amis motards tout en manipulant son téléphone portable. Le mien vibra dans ma poche. J’avais reçu un SMS d’un numéro masqué :
    
    Elle rangea son téléphone et pénétra dans l’hôtel.
    
    Le bruit de la douche était perceptible dès le couloir. Après avoir frappé, n’ayant pas reçu de réponse, je me décidai à entrer. La chambre 28 était plongée dans une demi-pénombre, les volets étant restés fermés. Les robes qu’Oriane et Karine portaient la veille traînaient sur le dossier d’un fauteuil, tandis que les vêtements de moto que portait Oriane encore ...
    ... quelques minutes auparavant étaient étalés par terre. Sur la table de chevet, je reconnus les deux glands d’acier et les anneaux qui étaient accrochés à sa chatte la veille au soir. Il y avait aussi deux objets métalliques plus grands dont je n’identifiai pas l’usage.
    
    Oriane n’a pas sursauté lorsque je suis entré dans la salle de bain. Elle prenait tout son temps pour rincer ses longs cheveux sous le jet d’eau brûlante, entièrement offerte à mon regard, sans pudeur. Débarrassées de leurs poids, ses grandes lèvres pendaient moins que la veille, mais semblaient néanmoins bien plus longues que la normale. Les œillets métalliques qui les traversaient, les fameuxflesh tunnels, faisaient deux gros trous à mi-hauteur de sa fente. Le gros anneau de son triangle les maintenait écartés, laissant ainsi son clitoris et le haut de son vagin exposés en permanence. Je découvris que comme Karine, elle portait une chaînette autour de la taille. Son nombril était percé d’un anneau, et la chaînette passait au travers.
    
    Elle avait des seins relativement petits, parfaitement coniques et d’un très bon maintien pour une femme d’une quarantaine d’années, mais eux aussi ornés d’une installation métallique tout aussi excitante qu’incongrue : ses tétons étaient emprisonnés chacun dans une bague d’acier d’environ un demi-centimètre de longueur. À la moitié de la longueur, la bague et le téton étaient traversés par une barre horizontale ; de part et d’autre des flancs de la bague, un bijou en forme ...
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