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Ecole Privée Ch. 06
Datte: 05/10/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica
Traduction d'un texte de « Anne ». Avertissement : Ce récit raconte l'humiliation et la dégradation d'une jeune enseignante. Certains passages sont assez durs et peuvent choquer. Si vous avez l'âme sensible, fermez cette page. Tous les personnages de ce récit ont plus de dix-huit ans. ********* 13 -- Une chance de jouir. - Alors salope, es-tu prête à jouir? MAURICE la regardait alors qu'elle était à genoux dans sa petite chambre dans le dortoir. Était-elle prête à jouir? - Oui oui M. MAURICE, je le suis. Elle était si excitée après quatre semaines sans orgasme. Sa chatte lui rappelait constamment, si bien qu'elle avait peur que son jus ne coule sur ses cuisses en classe. Sans culotte, rien ne pouvait l'arrêter. Elle leva les yeux sur son bourreau avec espoir. MAURICE libéra lentement sa que de son pantalon et dit : - Eh bien, il ne s'agit plus vraiment d'une question n'est-ce pas? La vraie question est de savoir ce que tu peux faire pour le mériter? Pendant que tu y réfléchis, tu peux nettoyer ma bite, je viens de passer quelques moments délicieux avec Belinda dans la salle de gym. Comme si elle n'avait pas remarqué qu'ils avaient traîné après le cours de gym et avaient disparu dans la pièce des équipements. Elle avait même entendu leurs grognements et gémissements tandis que MAURICE baisait la jeune fille debout. Elle se pencha en avant et commença à lécher. Le goût de la sueur mêlée à son sperme et au jus de la fille lui était bien connu ...
... maintenant. Mais ça la rendait encore plus douloureusement consciente de son manque de bite en elle. Elle essaya de se concentrer et de penser à quelque chose à répondre, quelque chose qui le pousserait à lui donner l'orgasme dont elle avait tant besoin. Elle sentit la bite réagir à ses soins et grandir dans sa bouche. Elle essaya de l'exciter encore plus pour qu'il la baise. Mais il recula. - Alors, des suggestions chienne? Elle dit la première pensée qui lui vint à l'esprit : - Vous pouvez me baiser comme vous le voulez M. MAURICE. Il gifla son visage violemment. - Stupide chatte, Quand comprendras-tu que tu dois mériter le privilège que je te baise? Et en plus je te l'ai dit, j'ai de meilleures proies. Penses-tu que, alors que je peux baiser Belinda, je pourrais être intéressé par une grosse vache comme toi. Il baissa les yeux pour la faire reculer. Il désigna la chaise et la força à se précipiter dessus. Elle dut s'asseoir face au dossier et pour cela, elle dut écarter les jambes pour s'adapter aux accoudoirs. Le garçon attacha ses pieds à ceux de la chaise. La position était très inconfortable avec son poids reposant sur ses cuisses sur les accoudoirs en bois dur. Mais le pire était que sa chatte était grande ouverte et en l'air. Elle pouvait déjà sentir son jus se former. Bientôt il goûterait sur le siège. - Bon, je vais dîner maintenant. Je suis sûr que tu es prête à manquer le repas pour avoir la chance de penser à quelque chose qui pourrait être ...