1. LES ROUTIERS SONT SYMPAS 10


    Datte: 04/10/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Petikokin, Source: Hds

    ... donne beaucoup de plaisir...
    
    - Alors, on va continuer... Laisses-toi faire... »
    
    Tout en parlant, je n’ai pas arrêté de caresser sa vulve, de masser son clitoris.
    
    J’augmente la pression de mes doigts... Ses lèvres, gonflées, s’écartent... Mon majeur s’introduit à l’entrée de son vagin, pénètre de plus en plus profondément... Son clitoris, turgescent et raide, pointe le bout de son nez...
    
    J’approche ma bouche, enfonce le plus profondément possible ma langue vers la source de son bonheur... J’en aspire le suc et remonte... Au passage, je mets mes lèvres en cul de poule, aspire le bouton sensible et le titille du bout de la langue.
    
    Magalie ne tarde pas à réagir : Sa respiration devient plus rapide, des râles sourdent en continu du fond de sa gorge. Comme prise de démence, sa tête roule sur l’oreiller. De ses mains posées sur ma tête, je sens le tremblement de ses doigts. Très vite, elle se crispe, me griffe le cuir chevelu. Un rugissement rauque jaillit de sa gorge.
    
    Sa jouissance me surprend... Elle se laisse aller sans retenue, expulsant un flot de plaisir contre mon menton.
    
    Prenant appui sur mes coudes, je me redresse pour observer, à travers ses yeux, son retour au calme.
    
    Une main, toujours posée sur son intimité, en mouvements continus, j’accompagne la baisse de tension de ce lieu.
    
    Je quitte mon slip, prends ses mains et lui fais saisir ma verge, raide tendue, au gland complètement découvert... Elle n’a pas de réaction de refus... Je lui fais ...
    ... faire quelques mouvements alternatifs sur toute la longueur.
    
    Je lâche ses mains, elle continue les caresses.
    
    À genoux, j’approche, elle a le gland à quelques centimètres de sa bouche...
    
    « Tu peux l’embrasser, le lécher, le sucer si tu veux...
    
    - Je n’ose pas... Ce serait la première fois...
    
    - Imagines-toi que c’est une glace... »
    
    Elle s’enhardit, dépose un baiser sur le bout, ouvre la bouche, le prend entre ses lèvres. Je sens sa langue qui lèche. Passant une main derrière sa tête, j’exerce une légère pression pour la faire aller plus loin.
    
    D’une rotation de la tête, elle refuse... Se reculant, elle me dit : « C’est trop gros... Je ne peux pas... »
    
    Je n’insiste pas et change de position... Discrètement, j’ai mis un préservatif en place.
    
    À califourchon sur son bassin, j’approche mon pieu de chair, encapuchonné, entre ses lèvres qu’avec deux doigts je tiens écartées... Doucement, je descends... Je sens mon gland buter sur l’entrée de sons vagin... Je force un peu, les chairs s’écartent, le gland est entièrement entré... Le bourrelet du prépuce a du mal à passer... En augmentant la pression, d’un coup, il est happé... Son couloir du bonheur est tellement lubrifié que la glissade dans ses profondeurs se fait en douceur... Arrivé au fond, je marque un temps d’arrêt...
    
    Je commence à la besogner... Elle réagit, ferme les yeux, serre les dents... Ses mains posées sur mon dos me caressent... Elle tremble dans mes bras...
    
    « je te fais mal ?
    
    - Non ! C’est ...
«12...5678»