Ma sœur Faten. (3) - Histoires de Sexe

Ma sœur Faten. (3)

— Alors, raconte, elle est blonde, brune, petite taille, raconte !

— Je n’ai pas de petite amie !

— Eh bien ça, c’est nouveau, tel que je te connaissais avant, tes yeux filtraient toutes les robes et les vêtements sales, je m’attendais à ce que tu les collectionnes !

Elle me rappela mes slips où plusieurs fois, j’étais rentré chez moi plein de sperme, car je ne ratais pas une occasion de me coller au cul d’une fille dans un bus, ou n’importe quelle chaîne humaine. Mon visage devint rouge de honte, alors c’était elle qui lavait mes slips ? Et pourquoi elle me le rappelait maintenant ? Je n’avais plus le courage de la regarder en face.

Elle se tut un bon moment, elle suivait son film de très près.

— Bon, c’est le moment de la prière, à tout de suite ! Elle allait sortir de la pièce, puis se retourna vers moi :

— Et toi, tu ne pries pas ?

— Je n’ai pas prié de toute la journée - en réalité, je n’ai jamais prié !

— Va prendre une douche, ensuite rattrape ton retard et je t’attendrai pour prier ensemble, la dernière de la soirée !

— Non, ne m’attends pas !

— Comme tu veux, à tout de suite !

Je n’ai pas bougé d’un iota, jusqu’à son retour, elle avait dans les bras une gandoura.

— Tiens, mets ça, tu ne vas pas dormir avec tes vêtements, à moins que tu ne préfères... !

— Non, ça me va !

Je me lève rapidement et je prends la gandoura de ses mains,

FATEN sortit pour me laisser me changer. J’ai hésité pour enlever mon slip, puis je me suis ...

... dit, personne n’osera y toucher et ça me permettra de laisser mes organes génitaux respirer un peu. Mais la gandoura est très petite et pour un gars de grande taille comme moi, elle m’arrivait juste au niveau des genoux, alors qu’elle aurait dû l’être aux orteils. Je me trouvais un peu ridicule dans cette tenue, elle était courte, mais aussi mes épaules et mes bras étaient libres, il suffisait que je le mette debout qu’elle se déchirerait.

Faten est revenue dans le salon, ce qui m’avait tout de suite frappé, c’était sa robe de nuit, elle était longue et d’un tissu assez fin pour distinguer les formes de son corps, ses seins et son bas-ventre étaient nettement visibles. Elle vient vers moi avec une démarche gracieuse. Je ne pouvais lever les yeux.

— Je ne vais pas tarder, je voulais savoir si tu ne manques de rien

Me dit-elle, en se mettant juste à côté de moi.

Faten avait la main devant sa bouche, elle rit en me voyant dans cette tenue.

— Excuse-moi, je ne savais pas, mon mari est un gamin par rapport à toi... !

— ... Je pensais qu’elle t’irait, si tu veux, je te l’échangerai !

— Non, ça va, c’est juste pour dormir ! Et je n’ai pas pu m’empêcher de jeter un coup d’œil sur ses jambes.

— Ça m’ennuie que tu partes demain, tu sais, tu peux rester avec nous encore une semaine ou deux ! ?

— Non je ne peux pas, je dois rentrer à la base après-demain !

— Même pas pour moi ? Tu veux rester, s’il te plaît ?

— ... Dis-moi ce qui te ferait plaisir pour ...