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Qui suis-je vraiment? 04
Datte: 04/10/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byRealbluetit, Source: Literotica
... me lançais donc vers la sortie. Sortir de la salle fût aisé car les deux spectateurs restant étaient absorbé par le film en cours, mais dans les couloirs j'entendis des gens arriver. Je voulus alors faire demi-tour mais la porte coupe-feu se referma définitivement. Je pris alors la décision de marcher comme si de rein n'était mais mon cœur devait faire 200 pulsations par minute et mon visage était en feu. J'avançais le regard baissé telle un animal soumis. Deux jeune adolescents passèrent à mes côté tournant la tête avec un regard interrogateur et se mirent à rigoler une fois devant. J'étais humiliée, heureusement j'arrivais dehors. Mais point d'homme avec mon manteau, non il ne pouvait me faire cela, surtout que j'avais naïvement laissé mon portefeuille dans la poche de mon manteau. Je me cachai dans un renfort du bâtiment en attendant qu'il se montre, c'est alors qu'une personne me siffla d'un taxi. Je compris que c'était pour moi. L'œil du taxi en profita pour me déshabiller du regard ce qui n'était pas trop difficile avec la transparence du tissu. On n'est jamais mieux servi que par soi-même: Une fois assise, je dû indiquer l'adresse au taxi. Toujours équipée de mes lunettes je n'osais tourner ma tête vers l'homme à mes côtés. De ses gestes il me fît comprendre d'écarter mes jambes, puis doucement il se mît à remonter la robe dévoilant au conducteur très attentif aux événements qu'il apercevait dans le rétroviseur mes jambes, suivi de mes cuisses. J'en avais ...
... des gouttes de sueur, il n'allait quand même pas montrer ma chatte à cette personne. Toutefois je n'osais arrêter cette main perverse. C'est alors qu'il me prît ma main qui remplaça la sienne. Il réitéra une claque sur mes cuisses indiquant que c'était à moi de poursuivre. J'étais rouge comme une pivoine, car désormais je n'avais plus l'excuse de rester passive, je devais agir. Le test était diabolique soit je ne remontais pas plus soit je dévoilais mon intimité, révélant ce que j'étais devenue. Ce n'était pas la main qui était donc pervers mais l'homme qui venait de me mettre en face de ma déchéance. Tremblante, je repris la montée du vêtement pour finir au dessus de mon sexe. Mon tortionnaire se mit alors à me doigter doucement devant le conducteur ébahi et heureux de l'action qui se tramait dans son taxi. J'étais chauffée à blanc par cette masturbation, quand le propriétaire du dictaphone sortit ses doigts de mon vagin pour me les faire sucer. Je me jetais dessus et les nettoyais du mieux que je pouvais. Le goût de mes sécrétions tranchait avec le sperme qui s'y trouvait peu avant. Malgré la lenteur de notre taxi, nous étions arrivés, et au moment de payer le chauffeur nous offrit la course en regard du spectacle offert. Après l'avoir remercié, je me retrouvais avec l'inconnu dans l'entrée de l'immeuble. Il sortit alors son magnétophone. - Dictaphone : Enlève tout de suite et ici ta robe salope, ensuite tu monteras pas l'escalier chez toi. Sans réfléchir, ...