April, en quête de sexe 25 - Histoires de Sexe

April, en quête de sexe 25

... moi. Et comme j'étais toujours emprisonnée entre ses jambes, je ne pouvais rien faire d'autre que gémir de plus en plus fort. Clara me le fit d'ailleurs remarquer :

- Tu vois ? Je t'avais dit que tu gémirais comme une chienne.

Je me débattis encore une fois, mais c'était plus pour la forme que pour me libérer, ses caresses me retiraient toute volonté. La cadence de ses doigts en moi ne ralentissait pas, elle continuait de me doigtait encore et encore. Je finis par approcher peu à peu de l'orgasme. Ses doigts me faisaient maintenant trembler, je sentais que j'allais jouir mais malheureusement Clara ne l'entendit pas de cette oreille : au moment où j'allais jouir, ma douce tortionnaire ralentit ses va-et-vient, m'empêchant de jouir. Elle continua de me branler lentement, me maintenant à la limite de l'orgasme sans me permettre d'y accéder. Je savais où elle voulait en venir, elle voulait sûrement que je la supplie de me laisser jouir. Et j'avais raison :

- Supplie-moi si tu veux jouir, me souffla-t-elle à l'oreille.

J'avais très envie de jouir, très très envie même. Mais je ne voulais pas céder, je voulais tenir, lui résister :

- Pas question... .

Mais j'avais dit ce « pas question » d'une voix faible, d'une voix proche de la défaite. Et Clara le savait : elle continua de me tourmenter avec ses doigts :

- Allez, je sais que t'en as envie. Laisse-toi aller. Supplie-moi.

Bordel, c'était dur de tenir ! Je me débattis une dernière fois, tentant de me ...

... libérer de l'emprise de ses jambes. Mais elles tenaient toujours bon. Tandis qu'une de ses mains continuait à me torturer, son autre main me tint par la gorge pour rejeter ma tête en arrière. Elle me fixa dans les yeux et m'ordonna encore :

- Supplie-moi.

Je soutins difficilement son regard et je résistai faiblement :

- Non...

Clara ne lâcha pas l'affaire : sa main quitta ma gorge et elle descendit vers ma poitrine qu'elle massa efficacement. Son autre main continuait encore de me mettre au supplice et en plus elle titilla mon clito avec son pouce. C'en fut trop pour moi, je ne pouvais tenir plus longtemps :

- Je t'en supplie Clara, laisse-moi jouir... succombais-je d'une voix toujours aussi faible.

Clara eut un sourire de satisfaction : elle me doigta à toute vitesse et elle massa mes seins plus vigoureusement. Étant déjà aux portes de l'orgasme, je jouis quasi instantanément dans un hurlement de plaisir. Mon corps fut pris de soubresauts tant la jouissance qu'elle m'avait procurée était forte.

Clara me libéra de ses jambes, me faisant m'écrouler sur le lit, sonnée par l'un des meilleurs orgasmes de ma vie. Clara m'observa d'un sourire moqueur, puis elle s'assit sur mon visage :

- Fais-moi encore jouir, ma belle.

Sonnée, je ne réagis pas tout de suite, alors elle se déhancha sur mon visage. Je mis quelques secondes à récupérer, puis je posais mes mains sur l'intérieur de ses cuisses et je m'appliquais à la lécher. Je la léchais du mieux que je pouvais, ...