1. Mister Hyde 35 et 36


    Datte: 02/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: LVolante, Source: Hds

    ... elle les glissa dans son dos en signe de docilité.
    
    Frédéric s’accroupit face à elle et prit entre ses mains le visage de sa bien-aimée.
    
    – Suis-moi au donjon lui dit-il de sa voix la plus chaude. La cuisine n’est pas le bon lieu pour ce genre d’apprentissage.
    
    Sans une hésitation, Lucile emboîta le pas de Frédéric. Comme une chienne suit son Maître, à quatre pattes.
    
    ***
    
    Frédéric attacha son élève au pilori en l’assurant qu’à défaut de savoir lui enseigner la souplesse, il serait capable de la rendre accueillante de toutes les façons possibles. Cependant il ne la traita pas en soumise et ses demandes ne furent en aucun cas des exigences. Elle s’y conforma néanmoins car, à chaque instant, il s’inquiétait de son confort et l’informait des turpitudes qu’il pourrait être amené à lui faire subir dans le feu de l’action.
    
    – Je vais commencer par ton sexe l’informa-t-il. Quand tu auras joui deux ou trois fois, tu seras prête à affronter l’exploration de nouveau horizons.
    
    Joignant le geste à la parole, Frédéric porta sa main droite sur les lèvres de son amante. Habilement, il faufila un doigt entre les grandes lèvres déjà humides de la jeune femme. Ce faisant, il la berça de mots doux et de compliments sur sa beauté. D’un mouvement lent et calculé, il écarta les plus petites et libéra un ru de liquide. Il remonta alors sa première phalange jusqu’au clitoris de sa belle et entrepris de le masser. De sa main gauche, il fit subir le même sort au téton droit. Sous ses ...
    ... doigts, il sentit gonfler les deux appendices.
    
    – J’aime tes seins dit-il. Ils sont si réactifs. J’aime les voir pointer sous ton corsage quand nous nous promenons. J’aime les voir s’assombrir de désir lorsque je les pince entre mes lèvres ou avec mes doigts. J’aime aussi les soupirs de plaisir que tu laisses échapper quand je presse ton clitoris ou que ma langue le cajole…
    
    Poursuivant la même politique, il énonçait et il faisait. Bientôt sa langue remplaça sa main droite tandis qu’entre son pouce et son index gauches il malaxait toujours plus fort le sein de sa compagne.
    
    Sa bouche la dévorait maintenant. Tantôt avec la lenteur suave d’un tango, parfois au rythme diabolique d’un quadrille, tantôt avec la frénésie d’un bon vieux rock mais le plus souvent à la cadence tempérée d’une valse à trois temps. Ses lèvres et sa langue allaient ainsi d’un bout à l’autre du sexe de Lucile qui, dans l’inconfortable position où elle se trouvait, n’en n’éprouva pas moins mille plaisirs inconnus. Combien de fois jouit-elle ? Impossible à savoir, elle eut l’impression de vivre un orgasme permanent qui ne cessa que lorsque ses jambes, épuisées de tant de secousses, refusèrent de la porter plus longtemps.
    
    Frédéric la délia et l’allongea sur un épais tapis de laine mais ne cessa pas pour autant de l’abreuver de mots ni de s’abreuver de son corps. Encore une fois, elle se cambra. La langue de Frédéric venait d’entrer en elle et la dardait avec la puissance d’un pénis tandis qu’un doigt ...
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