1. Drague avec mes fesses (4)


    Datte: 06/02/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: zooph34, Source: Xstory

    ... te voir intégralement.
    
    –Pas de problèmes.
    
    Elle fait glisser sa jupe jusqu’à terre et me la tend, elle enlève son pull et son corsage et me les tend. Elle ne porte pas de soutien-gorge, et on voit son pubis lisse au travers de la culotte de ses collants. Elle les fait descendre le long de ses jambes et les enlève. Elle nous regarde et fait un tour complet sur elle-même. Elle est vraiment très belle, ma taille, mon poids, beaux yeux bleus, cheveux blonds tombant en cascade sur ses épaules, beaux seins hauts et fermes, bonnets B, taille fine, ventre plat, belles fesses, pubis lisse et rebondi. Elle me plait beaucoup, et je pense qu’il en est de même pour Carole qui la détaille avec gourmandise.
    
    –Ok, rhabille-toi et suis-nous.
    
    Elle se rhabille, mais ne met pas ses collant qu’elle jette dans une poubelle et nous suit. Elle va prendre un manteau assez long qui se boutonne assez bas. Au moment où elle va l’enfiler, je l’arrête.
    
    –Tu es frileuse ?
    
    –Pas du tout.
    
    –Enlève ta jupe.
    
    Elle me regarde droit dans les yeux, me sourit, enlève sa jupe et la glisse dans son sac. Elle enfile son manteau et ne le boutonne que jusqu’au niveau de son pubis, chaque pas devant dégager ses jambes nues. J’ai remarqué que ses habits ne sont pas de très bonne qualité, elle ne doit pas avoir de gros moyens, je décide de lui offrir sa jupe, son corsage et son blouson. Nous nous rhabillons et sortons du sexshop.
    
    Nous prenons la ligne 1 à Châtelet pour George V. Nous prospectons ...
    ... dans les boutiques. Nous en trouvons une dans une rue donnant sur les Champs, il y a tout ce que nous voulons, jupes, corsages, blousons. Avec Carole, nous lui choisissons une jupe plissée blanche, un corsage crème et un blouson en cuir doublé fourrure artificielle. Sandrine verdie au fur et à mesure que l’on choisit pour elle. Il est temps d’essayer. Je l’amène vers une cabine, et lui tend la jupe et le corsage. Je laisse le rideau entre-ouvert. Je la sens crispée. Elle se déshabille entièrement, elle est vraiment magnifique. Mais au moment d’enfiler la jupe, elle craque et fond en larmes.
    
    –Que ce passe-t-il ?
    
    –Je ne peux pas, je n’ai pas les moyens de me payer ces fringues, je suis étudiante.
    
    –Mais qui te parle de les payer ?
    
    Elle redresse la tête et me regarde l’air ébahit. Je la prends dans mes bras, pose sa tête sur mon épaule et lui murmure.
    
    –Tu pense bien que je ne vais pas te laisser payer tout ça, j’ai bien vu que tu ne pouvais pas. Je te les offre.
    
    –Mais pourquoi ?
    
    –Simplement parce que tu es ravissante et que ça me plait de te les offrir.
    
    Carole s’approche avec une jupe droite et un corsage.
    
    –Et moi, je t’offre ta jupe droite et un autre corsage.
    
    Au lieu de la calmer, elle pleure encore plus fort, mais cette fois-ci, c’est de joie. Elle se calme, nous regarde.
    
    –Comment vous remercier ?
    
    –Ça ma chérie, c’est très simple, on verra ça plus tard. Commence par essayer ces fringues.
    
    Elle enfile la jupe et le corsage. Je la fais sortir ...