1. Le mâle dominant se tape toute sa famille (2)


    Datte: 01/10/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    Le Mâle dominant et toute sa famille. 2/4
    
    — Tu as une belle queue, fière et trapue, avec un énorme gland, je ne sais pas de qui tu tiens ça. J’ai envie de ton engin !
    
    Il glisse une de ses mains en dessous du mandrin pour empaumer les couilles lourdes et prometteuses. Il les pétrit dans sa main.
    
    Je n’ai encore jamais assisté à une fellation donnée à un homme par un autre homme, c’est beau et encore plus quand le pénitent vénère comme une offrande le don que lui donne son fils. Papa ouvre la bouche et prend entre ses lèvres le gland turgescent de mon frère, le lèche, le titille avant de constater :
    
    - Tes couilles sont bien trop pleines, Il va falloir que je te les vide !
    
    Suite :
    
    Il commence à prendre l’engin dans sa bouche, à aller et venir autour de ce gland et de cette hampe que maman et moi connaissons si bien. Sa langue virevolte autour de la queue. Papa tente de l’engloutir entièrement, ne laissant que quelques centimètres libres comme surpris de ne pas pouvoir y arriver mais en même temps flatté de ne pas pouvoir.
    
    Il entreprend alors, comme fasciné par la bite chaude une fellation digne d’une prostituée jusqu’à ce que la lance de Claude durcisse et grossisse plus si c’était humainement possible tout en triturant inlassablement les couilles dures sans que sa bouche ne cesse son travail.
    
    Claude abdique enfin et lance dans un râle :
    
    - Arrête papa ! Je n’y tiens plus ! Je vais partir….
    
    ­- Laisse-toi faire mon fils ! Vide-toi dans ma bouche ! ...
    ... Lui rétorque papa, abandonnant quelques secondes la teub filiale. Je veux connaître le goût de ton suc, que tu te vides sur ma langue !
    
    Claude, comme dans un état second, met ses mains sur la nuque de papa et l’attire à lui, le visage collé sur son bas-ventre.
    
    Papa ne peut qu’avaler précipitamment les geysers impétueux de son fils, le sperme épais et gluant, jaillissant par saccades très rapprochées du méat entrouvert, lui frappant violemment la glotte en un flot abondant avant de s’écouler dans sa gorge à chaque déglutissement, respirant difficilement par le nez.
    
    La source est tarie et le membre s’apaise en perdant un peu de sa rigidité avant que Claude ne relâche la pression sur le crâne de papa qui s’empresse de recracher la verge à peine dégonflée pour finir d’avaler les derniers reliquats de sperme qui lui obstruent encore les bronches :
    
    -Putain! C’était encore plus copieux que l’autre jour ! S’exclame-t-il… Faut être costaud pour tout avaler mais il était hors de question que je perde une seule goutte de ta liqueur !
    
    Mon frère tourne la tête vers maman et lui ordonne :
    
    - A ton tour maman ! Viens sucer ton fils !
    
    Elle s’agenouille face à lui, prenant la place de papa et frotte la bite contre sa bouche qu’elle ouvre le plus grand possible et gobe le gland légèrement fripé. Elle tète le cèpe flétrit, en lèche le pourtour, s’attardant sur le frein. Le miracle recommence et tel un champignon poussant à vue d’œil, le monstre de chair prend ses aises et ...
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