1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (21/23)


    Datte: 01/10/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... s’étaient un peu accumulés.
    
    C’est normal, nous mangions beaucoup de tartines au beurre et à la confiture.
    
    • Je continue notre histoire, nous avons fait le tour de la ferme, instinctivement nos mains se sont trouvées et je l’ai embrassé.
    
    • Jean-Marie, soit franc avec Véronique, une force nous a poussés l’un contre l’autre, dans notre adolescence, nous avions déjà des regards l’un envers l’autre.
    
    Quand tu m’as pris dans le foin de la grange la porte étant cassée, je n’ai opposé aucune résistance, il faut dire que j’étais venu sur les traces de ma jeunesse à la suite d’une rupture un peu tumultueuse à Paris.
    
    • Je vois que tu as reconnu Chantal, toujours aussi directe, mais il est vrai que dans la grange ce jour-là, je lui ai fait la totale comme savent le faire les garçons du Doubs ayant la nature à notre disposition.
    
    Pour être directe, ses mots sur mes rondeurs me restent au fond de la gorge, il faut reconnaître que dans ces années là, autant j’étais copine avec bon nombre de ces parisiens en vacances, mais surtout pas de cette petite pimbêche.
    
    • C’est ainsi qu’après lui avoir fait voir ce que nous savions faire, je lui ai parlé de mon projet de racheter cette vieille ferme.
    
    Nous avons investi et en avons fait un relais cheval.
    
    • Et toi, es-tu mariée et où habites-tu ?
    
    • Oui, avec Benoît, il est chirurgien à Dijon, il est là-bas près de ce couple avec mon fils qui épouse ta fille, je suis antiquaire dans le vieux Dijon où nous ...
    ... habitons.
    
    Je constate au passage que la grande brune se colle insidieusement à mon mari, il va falloir que j’éclaircisse qui ils sont et ce qu’elle lui veut.
    
    Je veux bien baiser et me faire baiser, mais je refuse d’être ma baiser de l’affaire.
    
    • Véronique, nous faisons chambre d’hôtes, vous serez les bienvenus.
    
    Cause toujours, tu m’intéresse, Jean-Marie passe encore, mais passer une soirée avec cette bobo parisienne, il ne faut pas compter sur moi, mais il faut savoir être faux-cul.
    
    • Je vous quitte mes obligation m’appelle, je crois que je vais aimer venir faire du cheval, j’en ai toujours rêvé.
    
    Certes le regard de chatte lubrique que notre amie de jeunesse me montre est fait pour m’intéresser.
    
    Une vieille voiture arrive, les deux mariés en descendent, commençant par Lison. Elle a une magnifique robe de mariée, je voulais participer à son achat, mais nul besoin, elle voulait se la payer.
    
    Bustier mettant ses seins en valeur, un seul petit problème, vu son état, ils ont tendance à prendre tout l’espace, ils commencent à se développer, ce sera une bonne vache laitière pour nourrir mon petit-fils.
    
    Vache laitière, je manque de pouffer de rire, la citadine que je suis doit être influencée par les personnes qui nous entourent.
    
    Les hommes du village et leurs femmes jeunes voire moins jeunes n’auraient manqué pour rien au monde ce mariage, pardon ce double mariage, ils sont tous en tenue de travail, les vaches dans les étables les attendent pour la traite.
    
    Je ...
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