Decend aux enfers
Datte: 07/05/2022,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Vos histoires
Auteur: Ivan Ribeiro Lagos, Source: Histoires-de-Sexe.club
... Germaine ne pouvait pas voir sa peau. La plus part des arignées étaient petites et semblaient presque inifensives, mais comme celles qu´elle avait vues jusque-là, il y en avait aussi des grosses melangées au reste. Tandis que Germaine observait fixement avec horreur, une araignée de la taille d´une balle de golf passe sur le front de sa mère. Une autre plus petite grimpa sur la lèvre inferieure. As mère était morte à plusieurs jours. Elle commençait vraiment à se regrettaire le fait. Elle essaya de se lever, mais son corps semblait se révolter. Elle commence à pleurer, elle va faire son deuil. Elle gémit et pleura sans rien dire.
Elle se découvre une nouvelle facette, l’exhibitionnisme. Dans l’échancrure de la veste très cintrée et épaulée, les poires lourdes de ses seins vibrent à chaque attaque du talon sur le bitume et oscillent, libres de toute retenue. Ses tétons dardent en se frottant contre la soie de la fine robe, envoyant des ondes de désir au creux de ses reins. Et la douce brise qui s’insinue sans difficulté, tant elle est courte, sous la robe moulante comme un gant, caresse son sexe nu et intégralement épilé. Le frottement de ses cuisses, au rythme de la marche, provoque un discret mais explicite crissement électrique dont elle ressent les effets jusqu’au fond de son ventre. Impossible de ne pas lui rendre compte qu´elle était déjà humide.
Dans la rue face à une enorme pancarte publicitaire, plus grande qu´une affiche de cinema. Chaussée de ...
... lunetes noirs qui font très star, même si elle n´est pas regardant, ds hommes la regarde son corps étalé lascivement sur un tissu en satin. À sa montre, elle se decide enfin à accélérer le pas. Germaine parcour les routes du désir et de la jouissance. La belle blonde allait à une galerie d´art. Alors tout avait commancé au voir le peintre dans la galerie. Il es beau et reste impressionné avec sa beauté.
- Moi, Frederico Casanova.
- C´est un plaisir vous rencontrer, monsieur Casanova, dit-elle.
- C´est pour moi un honneur, dit-il. Comment tu t´appelle?
- Germaine. Je suis Germaine. Mais je suis une femme mariée.
- C´est toujour comme ça. Les meilleures sont toujours prise. Mon dieu comme tu es belle.
- Oh! Merci.
C´est rencomtrant Casanova qu´elle s´est rendue compte à quel point sa vie manquait d´excitation. Elle avait passe du semtiment à l´acte. Elle avait essayé de revivre ça avec son mari. Et rien...
La blonde adorait être désirée, ce qui faisait d'elle une exhibitionniste avérée, de plus, outre le fait d'être l'objet des désirs sexuels des hommes, elle aimait se sentir accessible. À trente six ans elle possédait déjà une belle expérience sexuelle. Il faut dire que la femme était très belle, dans une petite robe blanche, avec dos nus et dessous juste un petit string blanc. Elle était super provoc. De plus bronzée. Se faisant elle était légèrement penchée vers l'avant, l'arrière de sa robe découvrant le haut des bas et le pli ...