1. COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat, la suite. Début de la saison II (1/7)


    Datte: 01/10/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... le paquet qu’une serveuse a rempli de mes emplettes.
    
    J’arrive là où j’ai mis ma voiture, elle n’est plus là.
    
    Je demande à des passants.
    
    Ils n’ont vu aucune dépanneuse l’enlever et me suggèrent de me rendre au commissariat non loin de là.
    
    J’y vais, c’est la seule chose qu’il reste à faire.
    
    Je demande où se trouve ma voiture, on me demande d’attendre.
    
    On enregistre ma plainte, le gendarme note mon nom et ma demande.
    
    Je m’assieds auprès d’une grande rousse qui a dû aller acheter ses fringues dans la boutique d'où je sors.
    
    - Alors, quand s’occupe-t-on de moi ?
    
    Ce n’est pas parce que je fais la pute que je ne suis pas une contribuable comme les autres, je vends mon cul, mais je paye mes impôts.
    
    Bande de maquereaux.
    
    - Olga ferme ta grande gueule ou je t’enferme dans la cage au sous-sol.
    
    C’est là qu’elle me prend à témoin.
    
    - Toi avec tes belles fringues, ils vont te faire passer avant moi et je vais perdre encore un ou deux clients.
    
    - Pourquoi êtes-vous là ?
    
    - J’ai perdu mon loulou, plutôt, on me l’a volé, un mec qui veut mon cul sans payer.
    
    Je suis venue le dénoncer, mais ils refusent que je témoigne, c’est un ami du commissaire.
    
    - Venez-vous souvent ici ?
    
    - Deux trois fois par semaine, ces cons nous ramassent pour racolage sur la voie publique et nous relâchent après avoir établi un PV qui ira dans les classements verticaux.
    
    Nous sommes obligées de faire plus de clients les fois où ils nous collent une amende, c’est ...
    ... pourquoi je leur ai dit qu’ils étaient des maquereaux.
    
    - Dites-moi, lors d’un de vos séjours ici, n’avez-vous pas rencontré un homme très grand, les cheveux en bataille avec un ciré jaune sur le dos ?
    
    - Muller, tu parles de Muller le SDF allemand, celui qu’aucune de nous ne voulait faire monter, même au temps de sa splendeur.
    
    Toutes nous avions peur qu’il nous déforme la chatte, nous rendant inutilisables pour nos autres clients.
    
    Si les putes ne voulaient pas de celui dont je viens d’apprendre qu’il s’appelait Muller et qu’il était d’origine allemande d’où le léger accent que j’avais remarqué même s’il m’a peu parlé.
    
    Contrairement à ces putes, je suis partante pour qu’il continue à me défoncer le vagin.
    
    Je serais prête à tout pour retrouver ces moments si divins que j'ai vécus avec lui.
    
    - Olga ferme ta gueule, je vais donner l’ordre de te descendre dans la cage.
    
    - Monsieur l’agent, c’est inadmissible de tutoyer cette dame, vous devez la respecter, comme vous me respectez.
    
    Ce n’est pas parce qu’elle fait la pute que vous ne devez pas la respecter, c’est une femme tout de même.
    
    Vous aussi vous vous taisez, sinon malgré vos airs de bourgeoise, je vous enferme toutes les deux.
    
    Je rentre dans une rage folle.
    
    - Qu’est-ce que t’en sais si je suis une bourgeoise.
    
    Si je te disais la pute que je suis sous mes grands airs, tu serais rouge de honte de savoir ce que je suis capable de faire avec mon cul.
    
    - Oui, elle a raison, à la regarder on voit une ...