1. I - Liaisons dangereuses (46)


    Datte: 01/10/2018, Catégories: Hétéro Auteur: flyx13, Source: Xstory

    ... que malgré l’état d’esprit dans lequel je suis venu la voir, j’ai beaucoup de mal à ne pas laisser mes pensées partir dans tout autre chose ; elle doit très bien sentir qu’un dilemme est en train de se dérouler dans ma tête et c’est alors qu’elle appuie sur un bouton de son poste téléphonique.
    
    — Clotilde, je veux qu’on ne me dérange sous aucun prétexte, dit-elle en appuyant bien sur le mot « aucun ».
    
    — Bien compris Typhaine, amuse-toi bien !
    
    Je ricane.
    
    — Ta secrétaire a l’air très serviable je vois.
    
    — Oh que oui, et bien plus que tu ne le penses ; tu le constateras peut-être par toi-même un jour.
    
    Elle ne me lâche toujours pas du regard, elle ne veut pas couper ce lien visuel car elle sait que plus elle me fixe, plus le désir qui bouillonne en moi grossira. Elle finit par se lever en prenant une petite télécommande sur laquelle elle appuie et de grands stores à lamelles se mettent alors lentement à descendre jusqu’à finir par occulter les trois quart de la baie vitrée, plongeant alors le bureau dans une petite pénombre ; le scintillement des nombreux écrans d’ordinateur présent se reflétant sur les murs et baignant la pièce d’une légère lumière artificielle.
    
    Typhaine fait lentement le tour de son bureau et une fois près de moi, elle fait pivoter mon fauteuil vers elle ; je reste assis à la regarder et elle commence à faire doucement remonter sa jupe le long de ses cuisses jusqu’à ce que je puisse voir le haut de ses bas apparaître puis elle avance ...
    ... au-dessus de moi en écartant les jambes et s’assoit face à moi sur mes cuisses. Je m’efforce de ne pas poser mes mains sur elle, me contentant de laisser pendre mes bras de chaque côté de la chaise ; son visage me surplombe de quelques centimètres et je peux sentir son haleine chaude effleurer ma peau.
    
    Elle se met à déboutonner sa veste, lentement, jusqu’à m’offrir une vue plongeante sur son sublime décolleté ; puis elle commence à passer ses mains à l’arrière de ma tête pour me caresser les cheveux et attirer mon visage entre ses gorges tout en se collant un peu plus à moi en faisant doucement onduler ses hanches.
    
    Dans ces conditions, il est très difficile pour moi de garder mon sang froid, pour ne pas dire impossible car son odeur entêtante ainsi que ses mouvements commencent à réveiller mon sexe que je sens, petit à petit, se mettre à enfler. Si je la laisse continuer, elle sentira bientôt à quel point je suis excité et elle aura gagné une nouvelle fois ; il faut que je reprenne la main et que ce soit moi qui mène la danse, sinon ça va finir comme ça a fini chez elle.
    
    Je viens alors poser mes mains sur ses hanches et je me lève vivement en la portant pour la faire s’asseoir sur son bureau juste derrière nous ; elle lance un petit rire mutin et écarte plus amplement les jambes, faisant encore remonter sa jupe. Elle est vêtue d’un porte-jarretelles et d’un string assorti blanc écru qui se marient parfaitement avec sa peau d’albâtre.
    
    Elle s’appuie en arrière sur ses mains ...
«12...6789»