Vacances avec ma sœur (11)
Datte: 01/10/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: pasdenom, Source: Xstory
... je préfère que tu arrêtes. Je préfère être frustrée de ne pas avoir joui que de risquer d’être entendue par les parents.
Ma sœur mit donc le coussin sur sa tête en prévision du bruit qu’elle serait susceptible de faire. Je descendis alors ma tête entre ses cuisses. En la léchant, j’entendis légèrement ses premiers gémissements. Nul doute qu’elle les retenait puisqu’elle n’avait encore jamais été aussi silencieuse auparavant. Plus je continuais de lui faire du bien, plus j’entendais ses gémissements augmenter de volume, tout en restant nettement moins bruyants que lorsque nous faisions ça chez elle ou chez moi. Son corps était de plus en plus incontrôlable. Malgré l’exquise saveur de sa cyprine et l’envie de l’amener au septième ciel, je décidai de m’arrêter là avant que ma sœur ne soit trop bruyante.
— Continue ! me supplia-t-elle. Fais-moi jouir, j’en ai trop envie !
— Tu es sûre que tu ne feras pas trop de bruit ?
— Oui, je vais me contenir.
Ses propos tenus quelques minutes auparavant semblèrent avoir disparus. Je repris donc là où je m’étais arrêté. Peut-être parce que nous étions dans la même pièce, mais même si elle se contenait, j’avais l’impression que ma sœur gémissait un peu trop fort pour être discrète. Mais à sa demande, je continuais malgré mes doutes. Quelques minutes plus tard, son corps se crispa sur moi, et j’entendis ma sœur jouir en mordant le coussin. Certes son orgasme était bien moins bruyant qu’à son habitude, mais je craignais ...
... néanmoins que nos parents nous aient entendus. Je me relevai puis vins m’allonger à ses côtés. Nous nous embrassâmes longuement, puis nous nous sommes endormis nus l’un contre l’autre. Nous n’irions pas plus loin cette nuit-là sous le toit des parents.
Le lendemain matin, ma sœur se réveilla en premier et m’embrassa. Je me réveillai ainsi tout en douceur. Après quelques caresses et d’autres baisers, elle se leva et s’habilla. Je profitai du spectacle qu’elle m’offrait volontairement en s’habillant sous mes yeux. Par chance, les parents ne sont pas venus nous réveiller. Restait à savoir s’ils avaient entendu nos ébats nocturnes.
— Dis-leur que je dors encore, dis-je discrètement à ma sœur avant qu’elle franchisse la porte.
— D’accord bébé. Tu as raison, faisons comme si nous ne nous étions pas réveillés ensemble.
Ma sœur rejoignit les parents qui étaient déjà levés. De ce que j’entendais de la conversation, rien ne laissait transparaître de quelconques soupçons de leur part. Ma sœur et moi avions donc probablement été plus discrets que je le croyais. Je me levai environ quinze minutes plus tard et fis comme si de rien n’était, faisant la bise à mes parents et à ma sœur pour les saluer.
L’après-midi, je partis en premier de chez nos parents, et je rentrai chez moi. Environ une heure plus tard, ma sœur me rejoignit chez moi. Dans l’appartement, à l’abri de tous, nous pouvions être nous-mêmes. Nous nous embrassâmes sans limite et sans crainte. De désir, je déshabillai ma ...