Révolte 03: Nabilla
Datte: 30/09/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... comme cela. Le chef et le grand jouiront en elle, le petit sur le dos de la fille. Puis le chef lui viole de nouveau le vagin remplit de sperme. Mais cette fois il ne la prend par là que pour se lubrifier. Il a une autre idée en tête, celle du lui prendre sa dernière virginité, lui dépuceler l'anus. En attendant, il lui prends la chatte quelques minutes, la faisant japper de douleur, puis une fois qu'il se juge bien huilé par la semence, il se retire du corps de Nabilla. Les deux autres, la maintienne en position de levrette. Quand le gland du chef, se met entre ses fesses, contre la petite étoile plissée qui garde l'entrée de ses reins, Nabilla se demande ce qu'il veut faire par cette orifice. Même si c'est une jeune fille de son temps, elle est ignorant de pas mal de choses du sexe. La sodomie par exemple, est un truc à cent mille lieux de ses connaissances. La sexualité ne l'a jamais vraiment intéressé. Elle n'en a que les connaissances basique. Aussi pour elle, l'anus ne sert qu'à déféquer.
- Arrêtez! Crie Nabilla.
Mais le chef reste en place, son pieu contre l'anus de la fille.
- Vous vous trompez de trou!
Sa remarque fais rire les hommes. Son bourreau force avec sa bite lubrifiée, ouvrant légèrement l'anus de la fille. Anus qui se met à palpiter pour éviter cette nouvelle défloration. Nabilla crie de douleur, elle comprend d'un coup qu'il veut faire rentrer son engin par cet endroit. C'est trop petit, c'est sale, ce qu'il se prépare à faire la révulse.
- ...
... Cela ne rentrera jamais... C'est trop gros... trop large... vous allez... me tuer...
- Allons, tu ne seras pas la première enculée!
- C'est sale... pitié ne faîtes pas...
La fin de sa phrase se termine encore dans un hurlement d'une puissance incroyable, autant en volume, qu'en intensité ou en souffrance. Le gland du chef, vient de forcer son sphincter, dans un craquement horrible, le fissurant méchamment. Il se met alors à entrer dans le conduit beaucoup trop étroit pour son sexe. Écartelant les chairs, lui déboîtant les entrailles. Un pieu qui fait sa place dans le rectum de sa victime, poussant tout sur son passage. La douleur est insensée, tellement indescriptible, qu'il n'existe pas de mot pour vous la décrire. Pour en rajouter à son malheur, Nabilla contracte son intérieur à mort, en rajoutant énormément à sa douleur déjà si immense. Ses fesses sont ouvertes à leurs maximum, au bord de l'éclatement. Un enfer sans nom est en train de s'abattre sur elle. Son cerveau ne peut plus penser, tant le ressenti de ce viol l'emplit. Le chef fait exprès de rentrer doucement, pour accentuer encore la souffrance de sa victime. Souffrance à elle, qui signifie encore plus de plaisir pour lui. Nabilla ressent chaque veine, chaque aspérité du braquemart qui progresse enter ses fesses. Tout son attention est concentré sur lui, sur cet engin de mort. La jeune fille de dix-neuf ans, aimerait tant s'évanouir. Mais ce plaisir, ce bonheur, d'échapper à ce qu'elle vie ne viens pas. Au ...