1. Natacha


    Datte: 30/09/2018, Catégories: Anal Première fois Auteur: feuillevierge, Source: xHamster

    J’avais 40 ans et un métier passionnant qui me conduisait à de très nombreux déplacements en avion en Occident. Je faisais au moins un vol aller-retour par semaine et j’ai donc connu pas mal d’incidents de voyage la plupart sans gravité même si une fois j’ai été éjecté du fuselage d’un avion en détresse par les toboggans gonflables. Je prenais souvent des vols tardifs pour ne pas amputer ma journée de travail. J’arrivai donc de nuit à l’hôtel pour une courte nuit solitaire avant d’engager une nouvelle journée dense. J’ai gardé de cette période quelques souvenirs croustillants.
    
    Cette jeune femme par exemple qui faisait téter son enfant de presque deux ans en salle d’attente à Rome. C’était une grande nordique bien foutue, danoise je crois, qui s’était mise topless les deux seins à l’air sans complexe et qui restait comme cela même quand son enfant avait fini de téter. Elle avait un bon prétexte pour s’exhiber sans crainte. Les hommes même en couple avaient du mal à détourner leurs regards de cette magnifique poitrine gorgée de lait que l’on voyait sourdre par quelques gouttes à la pointe des tétons.
    
    Ces mannequins qui revenaient d’un salon de la mode à Munich et qui étaient tout autour de moi dans l’avion. C’était de grandes filles maigres, pas très belles vues de près, qui ont passé une heure à se raconter les aventures sordides qu’elles avaient dû subir pour être retenues par leurs agences. C’était cru, raconté sans fioriture et montrait que ce métier demandait beauté ...
    ... physique et souplesse morale. C’était aussi excitant de comprendre qu’elles avaient acceptées.
    
    Cette jeune fille très court vêtue qui laissait voir sa culotte puis un peu plus tard son absence de culotte après être passée aux toilettes et dont le voisin de siège caressait l’entrecuisse dès que le personnel de bord n’était pas proche. On l’entendit même gémir de plaisir un peu plus tard quand les lumières furent en veilleuse.
    
    Et puis il y eu Barbara, une hôtesse hollandaise qui s’occupait de moi sur un vol long-courrier transatlantique. Elle était très professionnelle, courtoise. C’était une femme dans la trentaine dont la classe était soulignée par le port d’un élégant uniforme. Le vol était long et j’avais été discuté avec elle apprenant ainsi qu’elle vivait près de Paris, qu’elle était une fausse célibataire son ami intermittent étant steward sur d’autres vols, qu’elle aimait ce métier car elle s’y sentait libre et qu’elle aimait les rencontres de tous types que cela lui permettait car entre deux longs vols elle avait du temps en escale. Je l’avais trouvé sympathique et lui avait livré que moi je me sentais un peu seul lorsque j’enchainai les nuits loin de mon domicile habituel.
    
    J’avais regagné ma place et chaque fois qu’elle passait près de moi elle avait un mot gentil et un sourire charmant. Les heures passèrent et nous allions atterrir au Brésil. Lorsqu’elle ramassa les écouteurs elle se pencha vers moi et me dit doucement à l’oreille « on peut se revoir si vous ...
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