Salon du sexe - Histoires de Sexe

Salon du sexe

... habillée en soubrette, robe extrêmement courte, sans soutien-gorge, un magnifique décolleté sur mes seins parfaits et porte-jarretelles noir.

J’arrivai et Nicolas se mit à tourner autour de moi en me touchant les seins, les fesses et ma chatte ; je ne dis pas un mot et ne le regardai pas dans les yeux car, après tout, ici, c’était moi la soumise.

Il vint se placer devant moi et me donna un baiser fougueux en passant sa main sur le bout de mes seins qui se mirent à pointer sous l’effet de l’excitation, puis une de ses mains glissa sous ma robe à travers mon shorty fendu. Il passa la main sur mes petites lèvres et les écarta avec le doigt pour découvrir mon clitoris et le titiller. Je commençais à pousser des soupirs de plaisir et des gémissements alors que lui commençait à bander ; je pouvais sentir son sexe dur contre mon corps chaud. Il continua son expédition et me mit un doigt dans mon petit cul ; cela me fit un bien fou.

Il me força à me mettre à genoux devant lui et me présenta sa verge sur laquelle je m’empressai de passer la langue sensuellement d’en bas jusqu’au bout du gland de cette bite fièrement dressée que je pris pleinement en bouche et que je suçai frénétiquement sans m’arrêter ; il me tenait par les cheveux et gérait le rythme de la pipe que je lui faisais ; il me leva et m’arracha ma robe puis il prit un gode et me l’enfonça loin dans la chatte qui mouillait abondamment à présent. J’étais sa chienne et j’en étais heureuse : j’aime me faire dominer, ...

... devenir esclave de celui que j’aime.

Ce gode me pénétrait si profondément qu’il me fit jouir en quelques minutes à peine. Seulement, mon maître ne m’en avait pas donné la permission ; alors je m’apprêtai à recevoir ma punition.

Je dus à nouveau le sucer avant qu’il plonge sa bite d’un seul coup dans mon cul, ce qui me fit pousser un cri de douleur ; mais en même temps que la douleur, il y avait une sensation que j’aimais beaucoup. Il continua à me pilonner comme ça à quatre pattes, puis il plongea sa verge bien bandée dans ma chatte et je jouis plus fort encore. Alors, pour terminer la punition, il vint se mettre devant moi et me fit une éjaculation faciale (comble de l’humiliation) devant tous les spectateurs présents dans la salle.

Ensuite, il autorisa certaines personnes à monter sur scène ; ils en profitèrent bien sûr pour me toucher, m’enfoncer des doigts et des godes… J’étais humiliée et j’aimais ça, être prise pour le sexe, pour un objet sexuel qui réalise tous vos fantasmes, qu’ils soient hard ou plus soft.

Un homme vint avec sa compagne et ils commencèrent à me toucher les seins (j’étais à présent debout). Elle se mit à genoux et me lécha la chatte tandis que son mari me suçait les tétons ; je jouissais sous leurs gestes très habiles. Je me retrouvai vite allongée sur un canapé à me faire lécher la chatte et à crier mon plaisir intense.

Maintenant, des tas de personnes nous avaient rejoints et je me faisais toucher les seins, la chatte et les fesses par ...