1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (22)


    Datte: 29/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... lait peu abondant. Je ne demandai qu’à voir ou mieux, à goûter ce fameux lait. Ma mère omniprésente ne nous laissa guère le temps de parler ensemble, ainsi quand les lumières des différentes chambres s’éteignirent et j’eus droit à mon premier texto émanant de la chambre voisine : - compliqué de se voir ce soir -. Je répondis dans la foulée : - ça fait plus de trois mois que j’attends de t’avoir dans mes bras -. Nouveau texto : - ce n’est pas raisonnable mais viens -.
    
    A pas feutrés je me dirigeai vers sa chambre en entrebâillant la porte. Les volets clos, mon vieux compagnon le réverbère ne me fut d’aucune aide. Mais Véro avait laissé pour le bébé une petite loupiote d’appoint, ô combien salutaire dans ce parcours osé d’un combattant improvisé. Arrivé auprès de son lit elle se redressa vêtue de sa chemise de nuit.
    
    — Bon on ne fait pas de bruits mais tu aurais pu attendre lundi, en plus j’ai des kilos en trop et tu vas me trouver moche ! Soupira-t-elle en déboutonnant sa chemise de nuit.
    
    — Toi moche ? Attends je t’aide. En lui levant directement les bras pour la mettre enfin à poil.
    
    — Alors comment me trouves-tu ? Murmura-t-elle en s’allongeant avec ses seins devenus agréablement généreux.
    
    — T’es une pure merveille. En me penchant pour gober l’un de ses tétons.
    
    — Oui tu dis ça…Patrick j’ai peur que tu me fasses mal, on peut attendre encore un peu. Suggéra-t-elle en me laissant la stimuler.
    
    — T’as raison. En délaissant son mamelon laiteux pour lui rouler ...
    ... une bonne pelle.
    
    — T’es formidable et je t’adore et on verra plus tard. Conclut-elle en cherchant sa chemise de nuit.
    
    Un dernier baiser et je quittai les lieux. De retour dans mon lit, mon compagnon fidèle figé dans la rue avec les volets ouverts me tint compagnie. En y repensant tout avait été prématuré dans ma démarche. Véro avait accouché depuis deux semaines et sa libido en avait certainement pris un coup et comme toute femme ayant donné la vie, elle trouvait son corps laid. Rien de bien affolant pensai-je en m’endormant.
    
    Mon fils Hugo semblait être un bébé paisible, du moins il ne braillait pas. Toutes les quatre heures il fallait lui donner son biberon, ce que j’entendis vers cinq heures du matin. Heureusement pour moi, je ne bougeai pas de mon lit entendant la voix de ma mère demandant à sa sœur si elle pouvait l’aider. Rien que le fait d’entendre sa voix me fit frissonner, me sachant quelques heures auparavant embrassant sa sœur goulument.
    
    Le matin de bonne heure Véro déjà dans la cuisine donnait le sein à Hugo. Ma mère me voyant m’interpella.
    
    — Patrick tu penses à appeler le DRH pour un rdv pour Véronique ?
    
    — Je le fais dans l’instant. En composant le numéro.
    
    — Mais Anne ce n’était pas à la minute, il est à peine rentré et il repart demain. Rétorqua ma tante.
    
    — C’est bon tu le rencontres demain pour 16h ! On prend l’avion à 9h30 et j’espère que tu as un tailleur parce qu’avec les Allemands, pas de jeans pour l’assistante de direction à un ...
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