1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1295)


    Datte: 29/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Camélia au Château - (suite de l'épisode N°1291) -
    
    … tout en embrassant avec dévotion Ses doigts qu’il me présentait de Sa main tendue vers mon visage… C'est ainsi que je savourais le suprême honneur que m’accordait le Seigneur et Maître Vénéré de me permettre d’embrasser Sa main pour montrer ma reconnaissance infinie envers Sa noble personne et lui montrant, par la même occasion, ma vénération et mon adoration. J’adorais ce moment de plénitude où chacun était, bien sûr à sa place, chacun heureux de donner du plaisir à l’autre, le dominant et la dominée. Je profitais ainsi de ce moment embrassant simplement sa main sans artifice et avec humilité. J'étais totalement comblée et excitée comme la salope que j'étais de pouvoir ainsi être à Ses pieds et de me soumette ainsi à Monsieur le Marquis qui appréciait et profitait tout particulièrement de mes baisers de remerciements sur le bout de Ses doigts.
    
    Je me consacrais sur ce qu'il avait ordonné dans le but de Le satisfaire et de ne surtout pas Le décevoir. Voire la déception sur Son visage serait bien pire pour moi que de subir son courroux. Plus je passais du temps à Ses nobles pieds et plus je me rendais compte de la chance formidable et infinie que j'avais d’être sous le joug d’un Seigneur et Maître aussi exceptionnel que humaniste et qui avait aussi énormément de qualités humaines. Après un bon moment à Lui embrasser Sa noble main, je Le vis la retirant et la rapprochant de son corps. J’attendis immobile et sans ...
    ... émettre le moindre bruit ainsi à quatre pattes la prochaine directive. Le silence commença donc à s’installer dans la pièce et c’est toute excitée par cette situation d’attente que ma cyprine coulait le long de mes cuisses. J'étais en quadrupédie, la tête baissée et le regard rivé au sol. Après cet intense moment de silence, j'entendis alors le Maître Vénéré me dire de sa voix si charismatique et si suave qui m'excitait aussi bien qu’elle me faisait frémir :
    
    - Bien, Ma belle petite chienne, tu as su braver les épreuves que je t'ai imposées sans fauter. Je peux donc le dire clairement et ave réalisme, le Maître est fier de toi, Ma chienne soumise. Mais attention, cette réalité n'est pas une raison pour en profiter et te relâcher et encore moins pour fauter, sans quoi tu risquerais d’endurer Mon courroux ou bien pire encore pour toi Ma déception… N'oublie jamais quelle est ta place et que la jouissance que je t’ai accordé est un honneur que je te fais et non un droit que tu possèdes. Car, comme tu le sais déjà, ton corps ne t’appartient plus, il m’appartient entièrement et j’en fais ce que bon Me semble… Il va être bientôt temps que la séance se termine et que nous retrouvions, tous les deux, nos occupations respectives... Mais avant que le Seigneur et Maître ne te quitte et finisse cette séance, j'exige que tu viennes me présenter tes hommages et tes remerciements comme tu l’avais fait si bien au Château…
    
    Le Maître reprit son souffle, marqua un silence et m’observa ...
«123»